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love was always something heavy for me (neva)

Alec Alvarez
Alec Alvarez
the policeman
love was always something heavy for me (neva) Tekh7pi

à philadephie depuis à philadephie depuis : 10/03/2019

pétales tombées pétales tombées : 0

fleurs cueillies fleurs cueillies : 9


faceclaim faceclaim : matthew daddario

crédits crédits : .Cranberry (avatar)


occupation occupation : police officer, trying to get this world better

love was always something heavy for me (neva) Tumblr_inline_pnp4maLWTm1u9urvd_400

Why do we smile? Why do we laugh? Why do we feel alone? Why are we sad and confused? Why do we read poetry? Why do we cry when we see a painting? Why is there a riot in the heart when we love? Why do we feel shame? What is that thing in the pit of your stomach called desire?

love was always something heavy for me (neva) V9tWCA1

message posté :
Dim 24 Mar - 18:26


Tu pensais que t'allais resté une heure ou deux en plus, pour éviter de croiser ta sœur quand tu allais rentrer chez toi. Ça ne s'était pas réellement passé comme prévu. Un interrogatoire qui s'est terminé avec une imprégnation et l'inculpation d'un de tes anciens collègue pour abus de pouvoir et pédophilie. L'imprégnation. Le gamin. T'en revenais même pas. C'était pour ça que tu te sentais pas bien lorsque tu étais dans la boutique la première fois. Tu sentais perdre un peu l'esprit. C'était à cause de ça. Tu avais trouvé ta moitié. Nevaeh qui avait été insupportable. Tu pouvais comprendre à présent. Tu avais vu sa vie défiler. Tu pouvais le connaître par cœur, alors que ce n'était que la deuxième fois que tu le croisait. Pendant quatre heures, t'es resté à ses côtés, dans cette cellule. Une discussion par rapport à ce que vous avez pu voir, les images de la vie de l'autre durant l'imprégnation. Une discussion qui était sérieuse et pourtant pleine de piques. Vous vous cherchiez encore, gentiment. Des rires, des sourires et même des caresses quelques fois. Lui qui s'excuse pour l'autre flic. Il n'avait pas à le faire. Tu l'as même remercier. Il n'avait rien à faire dans le police et il était plutôt heureux qu'un type comme ça se retrouve emprisonné. Le gamin qui commençaient à bailler, les yeux qui se fermaient un peu trop souvent. Tu l'as laissé s'installer sur toi. Il s'est endormi d'un seul coup et toi t'as pas bougé. Tu l'as juste regardé dormir. C'était sans doute un peu flippant quand t'y pense à présent. Tes mains qui caressaient doucement son visage, ses cheveux. Quelques unes de ses mèches que tu remplaces correctement. Tu prends le temps de mieux le regarder, de l'admirer même. Endormie, on pourrait presque penser à un ange. Après tout, c'est ce que certains de ses grands-parents étaient. La fin arrivait. Tu caresses doucement son visage, tu lui murmurais qu'il fallait qu'il se réveille, qu'il allait pouvoir partir. Il avait un peu de mal à émerger, alors tu l'avais serré un peu contre toi avant de le laisser. La porte qui s'ouvre, tu l'accompagnes jusqu'à la sortie, tu lui fais signer le papier de sortie, même si la personne qui était censé venir le chercher n'était pas encore là. Il attendait son téléphone. T'es allé voir au laboratoire. Ils avaient pas encore fini. Encore une dizaine de minutes avant qu'on ne te le rende. Sur le chemin, tu en as profité pour ajouter ton numéro. S'il le supprime, c'est pas grave, tu aurais essayé. Puis les jours ont passé, t'as reçu un message auquel t'a répondu un peu trop rapidement. Des messages que vous vous envoyez. Tu lui as dit qu'un jour, t'essayerais de passer à la boutique, après le travail. C'était plutôt compliqué, ces derniers temps.  Mais t'avais réussi à terminer plutôt. Sans doute parce que t'avais fait des heures supplémentaires et qu'on pouvait pas te refuser. T'avais encore ton uniformes, t'as même pas pris la peine de te changer. T'es allé cherché des donuts. Un peu trop cliché, mais c'était la première boutique quand tu es sortie. Il t'a fallu une bonne dizaine de minutes avant d'arriver à la boutique. Il y avait un peu plus de monde que la dernière fois. Il ne t'avait pas vu, pas encore du mois. Tu le regardes s'occuper des clients. Il était plus doux que la dernière fois. T'en a profité pour regarder, pour te promener dans les allées. Les clients qui partaient petit à petit, jusqu'à ce que vous étiez enfin seul. Tu te diriges vers la caisses, tu le regardes avec un grand sourire. « Sorry to be an asshole last time. Here at the shop and at the police station. » Le sourire que tu gardes sur ton visage. « Have you got a potion againt dumbassness ? » Un rire qui s'échappe de ta bouche.
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Nevaeh Rivera
Nevaeh Rivera
the mind dragon
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faceclaim faceclaim : Noah centineo

crédits crédits : kidd


occupation occupation : apothecary with his brother next supreme in his father coven

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“I wondered what that was like, to hold someone’s hand. I bet you could sometimes find all of the mysteries of the universe in someone’s hand.”

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message posté :
Dim 24 Mar - 19:04


Ton arrestation, les propos libidineux d'un enfoiré de première, t'avais trouver ton âme-soeur aussi. Tout était aller trop vite, t'avais été prix dans un moment de rage intense, de peur, t'avais utiliser tes pouvoirs, c'était usant pour toi, d'être enfermer entre quatre murs. T'avais dû rendre ton téléphone pour qu'ils finissent l'analyse même si t'avais bien précisé que ça ne servirait à rien, que les téléphones et les cartes sim étaient jetable, personne ne t'écoutais jamais de toutes façons même pas la police alors tu ne pouvais rien y faire, t'avais croisé le regard de Adriel, il avait toujours l'air déçu de toi, comme si t'étais pas le frère qu'il voulait, comme si t'étais une tâche dans la famille parfaite qui était la tienne, tu détestais ça, tu t'étais excusé, tu voulais pas qu'il te déteste, t'avais déjà l'impression d'avoir perdu tout le monde, tu voulais pas le perdre aussi. T'étais pas proche de tes parents, pas proche de tes cousins, la seule personne dont t'étais proche c'était ton grand-père, parce qu'il te comprenait, parce qu'il avait toujours été là pour toi à t'enseigner ce qu'il savait, à te dire la vérité sur le monde. T'avais personne, sauf Adriel et lui, et ça te donnait la nausée d'être si seul, et en même temps tu te disais que c'était peut-être mieux, tu ne pouvais pas décevoir plus de personnes, tu lui avait dit, ce qu'il s'était passer, le policier, Alec, tu lui avais dit que t'avais eut peur, que t'avais eut mal, que tu ne voulais pas qu'il te déteste, que tu t'en voudrais à mort s'il venait à te détester. Adriel malgré tout c'était ta moitié, il était celui qui te protégeait du monde, c'était lui qui était intervenu quand il avait découvert que tu te faisais harcelé, c'était lui qui était intervenu quand il avait vu que tu commençais doucement à tomber accro de tes somnifères, c'est lui qui a soigner le petit con que t'étais quand t'as fait une overdose. Il était toi, il était ta moitié, et t'avais passer la nuit dans ses bras parce que t'avais pas réussi à dormir, parce que t'avais pleurer, il était une part de toi, de ton être, t'avais besoin de lui, même vous aviez grandit dans des optiques différentes t'étais toujours son petit frère, vous étiez toujours des enfants miracles et tu t'en voulais de le faire souffrir. Tu t'étais excusé si t'avais pu paraître méchant, tu lui as dit que tu voulais juste qu'il reste en dehors de tes bêtises, il était pas comme toi, il avait déjà un équilibre, toi t'avais rien à part lui, à part votre grand père, à part Alec à présent. La boutique qui s'était ouverte de nouveau, une semaine qui était passée à peu près, t'avais envoyer des messages au policier, vous aviez discuter, il était gentil quand il voulait, peut-être qu'il pouvait être quelqu'un pour toi en fin de comptes, peut-être qu'il était destiné à être avec toi. Tu savais pas trop. La boutique, les clients, les potions, t'avais vu Adriel s'illuminer quand son âme-sœur était passer, ça faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vu, le baiser qui avait limite fait exploser toute la boutique, ils étaient lumineux et t'étais content pour lui. Il était parti, tu lui avais dit de partir, il devait profiter, ce n'était pas tous les jours qu'il pouvait le voir, l'entendre, le prendre dans ses bras, c'était des retrouvailles et t'étais heureux pour eux. Les derniers clients, la boutique qui ferme bientôt. T'avais toujours l'espoir qu'il vienne un soir, tu savais pas particulièrement quand, tu servais des clients, tout est enfin vide, enfin, tu crois, jusqu'à ce que tu sursautes en le voyant à la caisse, un rire nerveux qui sort de ta gorge, c'était inattendue et pourtant t'avais patienter toute la semaine pour le voir. Il a ce sourire qui te donne envie de l'embrasser jusqu'à le voir encore plus grand, jusqu'à ce qu'il morde ta peau, t'as un air un peu rêveur avant de te reprendre, de relever les yeux et de les plongés dans les siens. Il s'excuse et t'as une moue qui semble lui dire que c'était pas grave. Il a toujours ce sourire, te demande si t'as une potion contre la débilité, malheureusement non, en tout cas, pas contre la sienne. « You were only doing your job. It's okay. Sorry for being an asshole last time. » T'hausses les épaules un peu nerveusement. La boîte de donuts que tu vois et ton ventre qui grogne. « Is that a date ? » Tu demandes, et la porte de la boutique qui se ferme, qui se verrouille, et ta main qui le tire vers l'arrière boutique. « You're too much a dumbass for a potion to work. » Un rire, ta main qui lâche la sienne, un rire que t'essaie de cacher, le rougissement de ta peau aussi. Un donuts que tu prends vite avant de t'asseoir sur la table de l'arrière boutique. « So. You wanted to see me that bad ? » Ton pied sur le côté de son siège, t'aimes sa présence.
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Alec Alvarez
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Why do we smile? Why do we laugh? Why do we feel alone? Why are we sad and confused? Why do we read poetry? Why do we cry when we see a painting? Why is there a riot in the heart when we love? Why do we feel shame? What is that thing in the pit of your stomach called desire?

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message posté :
Dim 24 Mar - 21:11


La semaine qui était fini pour toi. Un week-end qui commence en avance et tant mieux. T'avais besoin de repos après les jours que tu venais de passer. Ou alors quelques heures. Parce que tu savais que les week-end n'étaient en rien reposant avec le petit monstre que t'allais devoir garder. Le samedi soir. Comme toujours. C'est devenue une habitude. Après tout, ta sœur sait très bien que tu ne fais rien et elle en profite. Maintenant, tu ne peux même plus dire non. Elle laisse la gamine seule le temps que tu arrives parce qu'elle a réussi à avoir les clés. Tu ne sais pas comment, mais elle a réussi. T'as terminé en avance, c'était le moment parfait pour voir Neveah. Tu ne l'avais pas prévenu, tu voulais lui faire une surprise. Et tu n'étais même pas sûr qu'il puisse voir ton message. Tu erres dans la boutique, t'attends que les derniers clients partent pour faire ton apparition. T'as un petit rire lorsque tu le vois sursauter. Un air surpris qui se trouve sur son visage et que tu trouves adorable. Puis le sourire qui s'y dessine parce qu'il est content de te voir. Et toi, t'as tes lèvres qui s'étirent parce que t'es heureux de l'effet que ça lui a fait. « You were only doing your job. It's okay. Sorry for being an asshole last time. » Le sourire qui reste sur ton visage. Un petit rire qui s'échappe lorsque tu entends son ventre grogner. Apporter à manger était donc une bonne idée. « Is that a date ? » La boutique qui ferme sans qu'il ne se déplace. C'était clair, au moins il n'y aurait que vous deux. Nevaeh qui te prend la main, qui t'emmène vers l'arrière boutique. « Well we're only the two of us and there is food. So it's a date. » Un sourire en coin qui se dessine sur ton visage. Ce n'était pas vraiment le genre de premier rendez-vous auquel tu as pu penser, mais ça le fait aussi. Au moins, tu pouvais passer un peu de temps avec lui. Une demande, une potion qui pourrait guérir de ta stupidité. Stupide, c'était vraiment le mot pour te décrire lorsque tu avais été avec lui. T'étais parti sans même dire un merci, alors qu'il t'avait aidé. « You're too much a dumbass for a potion to work. » Tu fais semblant d'être attaqué. Peut-être que c'était vrai après tout. Il s'était mis à rire, même s'il avait essayé de le cacher. Tout comme le fait que ses joues devenaient un peu plus rouge. Il était mignon, magnifique même. « So I'm a lost cause. » Un rire qui s'échappe de ta bouche. Tu l'as souvent entendu ça, le fait que tu étais irrécupérable. Dans ta famille, à l'armée, quelques fois tes collègues te le disent. Irrécupérable parce que t'étais un peu trop têtue que tu voulais que ça aille dans ton sens. « So. You wanted to see me that bad ? » Tu sors de tes pensées alors que tu étais en train de l'admirer manger un donuts. Son pieds qui se trouve sur l'accoudoir de ton siège. «Well, yes. » Tu t'en rends pas compte, mais t'as un sourire un peu stupide qui est sur ton visage. Un sourire qui s'efface peut-être un peu trop rapidement, ton air sérieux qui revient. « The other cop' ….. Is trial is really soon. Other people will testify against him. I just want to warn you. » T'as l'air gêné. En même temps, ce n'était pas vraiment le genre d'annonce qu'on fait dans un premier rendez-vous et tu l'as bien compris. T'étais beaucoup trop stupide. « How are you ? » Tu t'es levé, ta main qui se pose doucement sur sa joue, qui la caresse, qui passe sur les quelques cicatrices de son visage. Tu voulais vraiment savoir parce que la soirée au poste pour lui n'était pas des plus facile et qu'il n'avait pas l'air de s'en remettre. Tu avais cette sensation qu'il n'était pas bien, qu'il y avait encore quelque chose qui n'allait pas. Tes bras qui se mettent autour de lui, autour de sa nuque, qui le ramène vers toi pour que tu puisses l'enlacer, sentir un peu plus son odeur, pour le rassurer aussi.
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Nevaeh Rivera
Nevaeh Rivera
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à philadephie depuis à philadephie depuis : 08/03/2019

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message posté :
Dim 24 Mar - 21:54


Les jours chargés à la boutique, t'avais eut du mal à t'en remettre, la peur que quelqu'un te touche, fasse un commentaire déplacé, t'avais peur de perdre ce contrôle que t'avais mis tant de temps à acquérir, la peur qui te tétanisait, qui te faisait perdre tout le self-control que tu avais, toute la maîtrise de tes pouvoirs. Tu voulais le voir, qui fixait la porte souvent en voulant voir sa silhouette se glisser dans le magasin, le magasin qui sentait la magie, les pierres, des odeurs sucrées des fleurs qui séchaient accrochées au plafond, l'odeur de potions qui mijotaient dans l'arrière boutique, des commandes, des pierres de cérémonies qui se trouvaient partout dans le boutique, milles odeurs, milles couleurs, des bibelots des cadeaux, des essences, de l'encens, la vie partout. C'était exténuant, ça donnait parfois mal à la tête mais tu devais quand même le faire, tu ne laisserais pas cette boutique mourir, tu ne laisseras pas le souvenir de tes grands parents se perdre, le nom de ton grand père en grand sur la devanture. Clearwater. Comme l'académie, nom de famille qui ne s'est pas réellement transmis, ils voulaient oublier la douleur, le passé, ils avaient disparus, ils étaient fatigués de se battre pour un monde qui oublierait ce qu'ils ont fait pour eux. Des actes égoïstes qui ont mener à un changement. T'aimerais être aussi fort, détruire une espèce entière pour sauver l'être que tu aimes, c'était romantique, mais t'avais peur, l'épreuve qu'il fallait passer, l'oublie, une fois que le couple était solide, que la morsure était apposée, l'oublie, l'autre qui doit se souvenir de l'âme sœur qu'il a oublier, qui doit s'adapter, réagir, les couples sont plus fort après ça, la douleur qui renforce les liens, et toi t'avais peur, Alec n'étaient pas venues à la cérémonie d'alignement, il ne savait même pas que t'existais, alors c'était pas grave, mais t'avais eut mal, t'avais senti la jalousie qui parcourais tes os, ton corps, quand t'avais vu Keith à celle de ton frère, l'amour assez fort pour se trouver même si jeune, t'avais toujours penser que t'étais destiner à finir seul, dans ta famille les âmes-sœurs se trouvaient tôt et toi t'étais tout seul encore à vingt-ans, ensuite vingt-quatre, puis tu l'avais trouver dans cette putain de boutique tu l'avais sentie cette odeur un peu trop virile, le bois, la fumé, la chaleur, tu l'avais sentie encore dans le poste, dans la salle d'interrogatoire et quand tes yeux avaient rencontrés les siens t'avais compris, t'avais eut trop peur pour avouer, pour essayer de discuter directement de ça avec lui, t'avais l'impression que c'était inutile, qu'il ne voudrait pas de toi, après des années sans morsure le lien se romps, si l'un meurt également, c'était douloureux, Eliott le savait, ton cœur s'était brisé pour lui, l’inquiétude qui avait ronger ton sang quand il avait commencer à vomir des fleurs, sa fiancée l'avait remarquer et tu lui avais dit, t'avais jamais rien dit à Eliott, c'était en partie ta faute, tu lui avais dit que c'était ridicule de le faire souffrir si longtemps si elle ne l'aimait pas, qu'elle devrait avouer. Et elle était morte. T'avais l'impression de l'avoir pousser à faire ça et t'aimais ton cousin, tu ne voulais pas qu'il meurt, tu ne voulais pas qu'il sache, un secret qui te ronge, qui te bouffe, un secret que t'as partager avec ton frère et tes parents, tu voulais le mieux pour cette famille. T'étais fatigué d'être une sorte d'erreur dans la famille, pas aussi sage que ton frère, plus tempétueux, tes deux parents n'étaient pas comme ça. T'étais une erreur et tu le sentais, et le fait que tu ai une âme-sœur était sans doute une erreur aussi. Cette âme-sœur qui te confirme avec un sourire que c'est bien un rendez-vous, deux personnes, de la nourriture, t'as un rire, tu t'en doutais et t'aimais cette sensation de chaleur qui montait doucement, qui te rassurais, t'avais toujours eut froid à l'intérieur avant lui. Tu l'embêtes, t'aimes ça, c'est un jeu, ça en devient un. Une cause perdue, et t'as un rire, un beignet que tu manges, trop de sucre dans ton sang après ça, tu vas le sentir.Tu l'embêtes, oui, lui demande s'il voulait te voir à ce point là, t'étais pas quelqu'un que les gens voulaient voir, les clients venaient surtout pour la qualité de tes potions et la beauté de ton frère jumeau. Il te dit oui, et t'as un sourire qui s'agrippe au sien, sourire qui disparaît quand il te parle de l'autre policier. Tu ne dis rien, le procès bientôt, d'autres gens qui vont témoigner, t'as cette boule dans la gorge subitement, t'as l'impression d'être faible, si faible. Il se lève, sa main qui caresse ta joue, qui caresse les cicatrices sur ta peau, des blessures de combats, de fiertés, signe que tu étais un combattant, que tu pouvais te défendre, que t'étais pas simplement un héritier, que t'avais du mérite, que tu étais quelqu'un de bien. Tu voulais te prouver quelque chose à toi même. Les bras autour de toi, comme si t'étais à la maison, à ta place, la boule dans ta gorge qui explose et les larmes qui font de même, t'as mal, t'as si mal, peur d'être seul et peur d'être blesser en même temps si tu laisses quelqu'un entrer dans ta vie, tu le connaissais pas vraiment et pourtant tu mettais déjà ta vie entre ses mains et tu te détestais pour ça. Les images que tu lui fait passer, tes parents, ton frère, l'ex de ton cousin, l'overdose, t'avais essayer de te suicider à cause de cette histoire, à cause du harcèlement scolaire aussi, t'arrivais plus à dormir et tu voulais juste en finir. Tes mains qui agrippent son dos tu le respire, son odeur, la sensation de son corps qui enveloppe le tiens, comme si t'étais précieux à ses yeux, comme si t'étais un bijou. Tu le repousses un peu, le fait s'asseoir, essuie tes larmes. « You must think I'm stupid and broken and that you don't want me anymore. I'm a murderer. » Tu te sens comme ça, comme si tu ne valais plus la peine d'être sauver. Ta main qui touche les plaques autour de son cou. « The army huh. » Un rire que t'as, t'aurais jamais penser sortir avec un militaire un jour, le pendentif que tu mets à ton cou, le tiens que tu lui donne, un pendentif de naissance, censé représenter la personnalité de l'autre, t'en avais deux, ils avaient pas été sur, alors tu pouvais lui donner celui là en échange de ses plaques militaires. Le quartz angel aura, les fréquences spirituel, la pierre du dragon que tu étais, la pierre qui a été changée quand tu as grandis, quand ton caractère s'est affirmé, tu avais deux talisman, celui que tu gardais près de ton cœur et celui là, un peu plus haut, il était à lui maintenant. Le lien entre le monde des esprits et le monde des humains, et un peu plus de choses que t'as pas envie d'expliquer. « Here you go. You keep mine and I keep yours. » Un petit rire pendant que tu caches les plaques sous ton t-shirt. « Alec. Do you think someday you will love me ? » Tu voulais savoir, tu ne voulais pas perdre ton temps, tu voulais qu'il te dise.
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Alec Alvarez
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message posté :
Sam 30 Mar - 16:39


Tu l'avais déjà senti cette odeur qui te faisait perdre la tête. La première fois que t'es venu à la boutique. T'es sans doute resté cinq bonne minutes devant la devanture de la boutique avant de finalement oser y entrer. Le gamin qui était en face de toi. Tu savais que c'était lui qui avait cette odeur et pourtant t'as rien fait. Parce que c'était pas le moment pour toi. Parce que l'odeur n'était pas aussi forte et que c'était peut-être toi qui te faisait des idées. Les odeurs des objets de la boutiques qui étaient plus forte que la sienne, qui la cachait. L'odeur qui était apparu de nouveau lorsque tu es entré dans cette salle d'interrogatoire. Là, il n'y avait pas d'erreur possible. C'était lui et personne d'autre. L'imprégnation qui avait eu lieu. Des images qui défilent dans ton esprit. Tu as vu toute sa vie en l'espace de quelques secondes. Ou du moins presque toute sa vie. Des images qui restent encore cachées jusqu'à ce que tu le regardes de nouveau. Pas tout d'un coup. Pour laisser le temps de se découvrir, pour que les cerveaux puissent assimiler les informations reçues. T'avais essayé de rester le plus professionnel possible. Essayé, mais t'as bien vu que ton comportement avait changé, que tu te montrais plus protecteur, un peu plus doux envers lui. Cela pouvait aussi se ressentir dans les messages que vous avez pu vous envoyer. Un sourire qui se dessine lorsqu'il te demande si c'était un rendez-vous, si tu avais eu autant envie de le voir. La réponse était oui. Tu avais attendu toute la semaine ce moment, bien évidement que tu avais envie de le voir. Le sourire qui disparaît quand tu parles de l'autre policier. Peut-être que tu aurais dû attendre avant d'en parler. Ou alors pas en parler du tout. Mais tu voulais le mettre au courant. C'était sans doute stupide. Tes mains qui caressent son visage, les bleus à cause des combats aussi. Tes bras qui l'entourent doucement. Tu l'entends, tu sens les larmes couler. Alors tu resserres un peu plus votre étreinte. Des images qui te parviennent. Une partie de sa vie. Lui. Une autre fille. Il voulait l'avertir, la prévenir que quelqu'un allait mourir si elle continuait à se taire. Son cousin. T'avais entendu cette histoire. L'héritier qui est parti du jour au lendemain. Lui qui tentait de mettre fin à ses jours, le harcèlement. Ta tête dans son cou. Un baiser que tu lui déposes délicatement. « You must think I'm stupid and broken and that you don't want me anymore. I'm a murderer. » Tu te redresses un peu, tu le regardes, tu essuies les dernières larmes qui coulaient.« I don't think that. » Tes lèvres qui s'étirent légèrement. Un baiser sur son front. « And you're not a murderer. She was stupid and selfish. » Un autre baiser. Près des lèvres celui-là. Tu l'avais bien vu. Il l'avait juste averti. Il n'y avait rien de grave à ça. C'était l'autre fille qui a pensé à une solution un peu trop radicale. Nevaeh qui touche les plaques qui se trouvent autour de cou. « The army huh. » Un léger rire qui s'échappe de ta bouche. « Not really a soft teenage boy who liked school. » Dix ans que tu dois les avoir ses plaques. L'école, ça n'a jamais réellement été pour toi. T'étais un élève moyen, tu pouvais t'en sortir, mais tu savais très bien que les études ce n'était pas pour toi, qu'il fallait quelque chose avec plus d'action. La fin du lycée et toi qui t'engage dans l'armée. Tes parents qui t'en voulaient parce qu'ils avaient planifié de grandes choses pour toi. Tu les décevais une fois de plus, mais tu t'en fichais. Nevaeh qui enlève le pendentif qui se trouvait autour de son cou pour pouvoir le mettre autour du tien. Un sourire qui se dessine lorsque tu vois les pierres. Sans doute qu'il y a une signification, tu te renseigneras plus tard. « Here you go. You keep mine and I keep yours. » Un léger baiser que tu déposes à nouveau. T'avais découvert une nouvelle drogue. Tes lèvres qui ne pouvaient être loin de sa peau. « Alec. Do you think someday you will love me ? » Un sourire qui se dessine. Tes lèvres qui s'étirent de plus en plus. « Of course I will love you. » Tes mains qui caressent ses joues, qui le rassurent. « Maybe I already love you. » Ton regard qui plonge dans le sien. Tu te rapproches un peu. Même beaucoup. Ton visage qui se trouve à quelques millimètres du sien. Et tes lèvres qui plongent doucement dans les siennes. Un premier baiser. Doux et plein d'amour. Oui tu l'aimais déjà. Peut-être que c'était à cause de l'imprégnation. Mais tu apprenais à le connaître et ça te le faisait aimer un peu plus tous les jours.
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Nevaeh Rivera
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message posté :
Sam 30 Mar - 19:35


La culpabilité un peu trop grande pour tes épaules un peu trop frêle. Tu pensais que tout était de ta faute, tout le temps, ça te rendait fou, le regard brisé d'Eliott après tout ce qu'il s'était passer, la douleur qui émanait de lui, la mort sur sa conscience, sur la tienne également. C'était compliqué d'être considéré comme un enfant par des gens qui ne nous connaissent pas, « gamin » qui sonne comme une insulte, t'avais plus de diplômes que ceux qui t'insultaient, comme si t'étais pas capable de gérer tes émotions, incapable de raisonner correctement, de faire ce qui était le mieux pour toi. Tu n'étais plus dépendant de quelqu'un, tu aurais très bien vécu le fait de ne pas avoir d'âme-soeur, t'avais peur d'être déçu, que ça ne fonctionne pas, que tu ne sois plus l'ombre de toi même parce que tu vivrais pour quelqu'un d'autre. Il en était hors de question, tu te sentais comme un être entier, capable de soulever des montagnes, pas un petit-ami potentiel ou bien géniteur d'une troupe d'enfants en bas-âge. C'était pas ça ta vie, ta vie c'était de continué ta formation pour être le gérant d'un Coven, continuer de te battre, de te prouver que tu méritais ta place et que tu étais simplement né dans la bonne famille. Eliott, Adriel, ils s'étaient construits sans challenge, ils avaient rencontrés leurs âme-sœurs quand ils se construisaient encore, des problématiques d'adolescents où d'enfants, t'étais celui qui arrivait dans ce monde avec un âme-sœur déjà adulte, ayant un métier, une famille, vous aviez été élevé dans deux mondes qui ne se rencontraient pas, jamais. Pourtant tu te retrouvais en larmes dans des bras qui avaient préservés ton sommeil pendant une garde-à-vue. T'étais dans en larmes et t'essayais de garder cette figure froide et calculatrice qui te définissait autant qu'elle définissait ton père. L'intelligence qui brillait dans vos pupilles et la peur du monde, l'envie de bien faire également. La violence de ton grand-père qui coule dans ton sang alors qu'il t'arrive parfois de frapper sans réussir à t'arrêter. T'étais construit de force d'intelligence, de passion et d'une violence rare. L'envie de construire toi-même tes lois, l'envie de briser les codes, les chaînes. T'étais défini par le passé de tes parents et pas le tiens et ça te donnait envie de partir loin, dans un monde où ton nom de famille est inconnu et où personne ne te regarde. De toutes façons, personne ne te regardait, sauf lui, il avait plongé tes yeux dans les siens et t'avais mal, l'impression d'être un livre ouvert, la chaire au grand air. T'avais aimer qu'il réussisse à te tenir tête, t'avais aimer les regards appréciateur et pourtant moralisateur, comme s'il voulait te plier alors que t'étais déjà au bord de la rupture. T'avais osé te montrer fragile, montrer que tu t'en voulais, que t'aimais même si t'avais l'impression d'avoir un cœur en acier trempé. Un baiser sur ton front, sur le coin de tes lèvres, t'étais perdu dans sa douceur, c'était bizarre, ça n'arrivait pas, c'était presque trop léger, toi qui avait l'habitude des étreintes des parents, virile, fort, l'envie de sentir leur enfant contre eux, les mains qui se serrent avec les autres, des baisers sur les joues presque sans se toucher même. Lui, c'était trop doux, comme s'il avait peur de te blesser, comme si t'étais un truc un peu trop précieux pour te serrer. L'armée qu'il a fait, parce que l'école ça n'allait pas, il était ton contraire, il assumait l'impulsivité, la colère qui l'animait, ça te donnait envie de le toucher encore plus, de mettre sa main contre son cœur et de serrer pour le laisser avec le souffle court. Ses plaques autour de ton cou, ton pendentif autour du sien, comme si tu lui offrais ton cœur, une protection plutôt, une protection contre toi, contre ceux avec des pouvoirs, ils ne pourront toucher à son esprit, à son cœur. Comme des runes que tu feras peut-être plus tard. Il est doux, comme si t'étais précieux, et ça te fait fondre, c'est vicieux. Tu demandes, s'il peut t'aimer, il ne tarde pas le sourire qui fait rougir tes joues d'un coup, l'afflux de sang, la première fois que tu ressens ça, que tu sens ton cœur battre un peu trop fort, le sourire qui te fait déglutir, comme s'il venait de t'ensorceler, et t'aimais pas ça c'était trop, trop soudain. Tes joues qui sont caressées, t'as un rire un peu trop sincère comme si t'avais menti toute ta vie. Peut-être qu'il t'aime déjà, il ne peut pas, le lien qui provoque l'attachement, l'amour vient après, pas étonnant que certains couples se brisent, ils changent d'âmes-soeurs, l'amour ne vient pas, une science qui n'est pas exacte, la nature se trompe parfois. Tes yeux dans les siens, et il se rapproche, et tu ne dis rien, parce que peut-être que merde, il est tant que t'ouvres les yeux et que tu profites de la vie, que t'oublies la peur, la douleur, que tu te concentres sur une personne faite uniquement pour toi. Les lèvres qui se touchent, se heurtent, le goût de sucre, qui te fait sourire et t'as tes mains qui passent dans sa nuque, caresses les mèches de cheveux, et c'était doux, sucré, lent, comme si on avait mis ton monde sur ralentis. T'as un rire, quand tu te recules, tes yeux qui s'ouvrent à nouveau et ta tête qui se met sur son épaule, la peur qui s'évanouie, peut-être que t'étais vraiment destinée à être avec lui au final ? « You're not a bad kisser. » C'était le premier, en même temps, tu n'avais pas de point de comparaison. Tes lèvres qui se posent encore une fois sur les siennes. « Sorry for the drama. » Tu prends un autre donuts, t'es un peu trop proche de lui, t'es au bord de la table, il t'a rapprocher quand il t'a prit dans ses bras, et tu t'en fiches, tu descends, t'assois carrément sur ses genoux. « I was kind of jealous of my brother when he saw his boyfriend earlier. I'm not anymore. Not that I want you to be my boyfriend or whatever. You know what. Fuck off. » T'as un rire, gêner. Tu sais pas comment te défendre sur ce point là.
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Alec Alvarez
Alec Alvarez
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Why do we smile? Why do we laugh? Why do we feel alone? Why are we sad and confused? Why do we read poetry? Why do we cry when we see a painting? Why is there a riot in the heart when we love? Why do we feel shame? What is that thing in the pit of your stomach called desire?

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Lun 1 Avr - 20:30


T'avais entendu des histoires sur des personnes qui n'avaient pas d'âme soeur, des histoires de personnes qui avaient une âme soeur, mais dont le lien n'était pas réciproque. Une maladie qui se déclenche. Des fleurs qu'on tousse. Des fleurs qui grandissent dans les poumons jusqu'à l’asphyxie. Maladie poétique qui n'est qu'un piège. Tu pensais que ça allait t'arriver. Cette maladie ou finir seul. Personne n'allait vouloir d'un type comme toi, c'est ce qu'on te répétais souvent. Tu t'es finalement mis à le croire. Tu finirais seul, sans personne à qui t'accrocher. L'amour que tu ne cherches pas vraiment. Les relations d'un soir qui s'enchaînent. Ce n'était pas si mal que ça après tout. Et puis, tu as vu les désastres d'un amour à sens unique. Les fleurs teinté de rouge au sol. Les larmes. L'envie d'être au côté de la personne qu'on aime à tout prix. Ouais, t'avais vu ta sœur. Tu l'as vu se donner corps et âme dans cette relation qui n'allait rien donner. Tu lui avais dit que ce n'était pas grave, qu'elle pourrait aimer quelqu'un d'autre. Peut-être pas aussi fort, mais ce n'était pas quelque chose d'impossible. T'as vu ta sœur faire tout pour garder l'autre et elle était enceinte. Ta nièce qui n'était qu'une technique pour le garder. Le mec est parti à la naissance, pas capable d'assumer cet enfant. Ses sentiments qui étaient trop puissants pour sa véritable âme sœur. Ta sœur qui a été anéanti. Toi qui t'occupe du nouveau-né, de ta sœur. T'as vu les ravages que ça pouvait faire et t'en avais aucune envie que ça t'arrive aussi. Mais c'est trop tard. T'as croisé le regard de Nevaeh. Ta vie qui a changé en un seul instant. Tes anciennes pensées qui sont parties un peu trop rapidement. L'envie de protéger Nevaeh qui avait pris le dessus. Son odeur qui t'enivrais. Tu faisais parti de ces chanceux qui avait trouvé sa moitié. Est-ce que tu avais été pressé de le voir ? Oui. Tu ne le cachais même pas. Tes lèvres qui parcours sa peau, qui se rapprochent dangereusement des siennes. Un baiser. Le premier d'une longue série. Ce n'était certainement pas le moment le plus romantique, le plus adéquate aussi, mais tu avais envie de le faire. T'avais eu envie de lui montrer que oui tu avais déjà des sentiments pour lui. Des sentiments qui n'allaient cessé de grandir. Le baiser qui se termine. Un sourire qui reste sur tes lèvres lorsque tu sens sa tête se poser sur ton épaule, lorsque tu le sens plus détendue, la peur qui s'envole au loin. « You're not a bad kisser. » Un rire qui s'échappe de tes lèvres. Tu n'étais pas même rendu compte que tu lui avais pris son premier baiser. « You're not a bad kisser either. » Tes mains qui se reposent sur son visage, qui caressent de nouveau délicatement ses joues. Ses lèvres qui se posent de nouveau sur les tiennes. « Sorry for the drama. » Gamin qui prend une autre pâtisserie avant de venir s'asseoir sur tes genoux. « Don't be sorry, I'm here. I always be here for you. » Ta main qui se promène dans sa chevelure et un baiser sur sa joue avant de le serrer un peu plus fort contre toi. « I was kind of jealous of my brother when he saw his boyfriend earlier. I'm not anymore. Not that I want you to be my boyfriend or whatever. You know what. Fuck off. » Tu souris, tu continues à caresser ses joues. Tes yeux qui n'arrivent pas à le quitter. Tu le regardes comme s'il était l'une des merveilles du monde. « I'm your boyfriend now. » Un sourire fier qui est sur ton visage. Un peu trop sans doute. Les lèvres de Nevaeh qui sont de nouveau attaquées par les tiennes. « And your brother will be jealous of us. » Un rire qui s'échappe de ta bouche. Tu ne sais même pas si t'es sérieux. Sans doute oui. « How was your week ? Not too long ? » Tu reprend ton sérieux. Une de tes mains qui se balade dans son dos. Des caresses, un massage. Tu fais tout ton possible pour qu'il puisse se sentir bien. Un doigt qui enlève le sucre qu'il avait au coin de sa bouche. Ton regard qui se perd à nouveau dans le sien. Ton cœur qui commence à battre un peu trop rapidement. C'est lui et personne d'autre à présent.
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Nevaeh Rivera
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“I wondered what that was like, to hold someone’s hand. I bet you could sometimes find all of the mysteries of the universe in someone’s hand.”

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message posté :
Lun 1 Avr - 23:18


Merde. T'avais toujours voulu être fort, celui qui ne dépendrait de personne, tu ne voulais pas être accrocher aux battements de cœurs de quelqu'un, tu ne voulais vivre que pour toi même. C'était foiré, c'était comme si on t'avais voler le peu de maîtrise que t'avais sur toi. Ton loup qui s'affolait sous ta peau, qui voulait le faire tiens, qui voulait retrouver l'âme de laquelle il avait été extrait il y a tant d'années de ça. Tu pouvais dire avec certitude que tu l'aimais, enfin, que tu l'aimerais, mais t'étais déjà profondément attiré par lui et t'avais pas envie qu'il te lâche. C'était angoissant, c'était prenant à la gorge presque. T'avais fait abstraction quand t'étais au commissariat, t'avais essayer de jouer, de t'enfuir, de prendre la situation de ton côté, tu voulais t'enfuir malgré son sourire, malgré son odeur. C'était angoissant d'avoir subitement ton cœur qui ne voulait que lui, ton corps qui voulait faire partie du sien, être un prolongement de son être et qu'il soit le prolongement du tiens. Tes parents avaient essayer, ils avaient voulu s'éloigner, ils avaient voulu faire leurs propres chemins, ils s'étaient battus, déchirés entre-eux, t'avais pas envie de ça, tu ne voulais pas que ça se passe comme pour tes parents. T'avais entendu, les histoires, la difficulté à avoir des enfants la peur, les grognements, l'angoisse, la séparation, t'avais entendu l'histoire, la joie d'avoir enfin retrouver son âme-soeur pour de bon avant de le perdre à nouveau parce qu'il y avait un manque d'attention, une non-connaissance de l'histoire. Ils avaient grandit ensemble pourtant. Tu voulais de quelqu'un qui te sache, te connaisse, sache comment t'aborder, te faire sourire. Il réussissait pour le moment et ça te rendait profondément heureux et ça faisait battre ton cœur un peu plus vite. L'amour vient après, de toutes façons il y avait plusieurs imprégnation, la première qui fait que les cœurs se lie, la seconde pour l'envie l'un de l'autre, elle arrivait souvent avec la troisième dans le même regard, l'envie de finir sa vie avec l'autre, parce que c'est une drogue. Pourtant, parfois les âmes-sœurs se brisés, des engueulades, parfois le destin se trompe et tu veux pas que ça arrive, jamais. Ta tête sur son épaule, tu avoues, à demi-mot, que t'as aimer ce baiser, le premier, t'avais senti ton cœur rater des battements, t'avais que tu voulais le garder pour toujours avec toi et il rentre dans ton jeu, avec un rire, tu ne feras pas de compliments avant de le connaître réellement, il devait le sentir.Les mains sur ton visage qui le font se relever un peu et tu oses l'embrasser encore, qu'est ce que tu demandes de plus après tout ? Putain un militaire, un policier, t'avais l'impression de tomber dans le cliché de ta famille, de ton oncle, ton grand-père qui sortait avec un renégat, c'était plus ton type, pourtant, il était ça aussi, la violence, l'impulsivité, cette lueur dans ses yeux qui te hurlaient qu'il n'était pas si sage qu'il avait l'air de l'être. Tu te déplaces, sur ses genoux en face de lui, vos cœurs qui se font face, t'avais envie de le toucher plus, de le sentir plus. La pâtisserie que tu prends, mange, avale. Les mots qui te font rater des battements de cœurs, encore, personne n'avait jamais agit comme ça avec toi et tes joues n'avaient jamais été si rouges. La main dans tes cheveux, ses lèvres sur ta joue, comme si t'étais si fragile qu'il avait peur de te blesser et ça faisait fondre ton putain de cœur de glace. Tu parles trop, de ton frère, de ton envie qu'il soit ton petit-ami, qu'en fait non, t'étais stupide et tu flippais à l'idée qu'il ne soit pas chaud à l'idée d'être bloqué avec toi pour toute sa vie. Il te regarde, tes yeux qui s'accrochent aux siens, t'as l'impression que tu vas suffoquer, que tu vas te noyer. Il est ton petit-ami, il sera toujours là pour toi ça te donnait putain de chaud. Ce regard, qui t'observait, regardait chaque imperfections, chaque traits, ça te gênait, un peu, tu ne te trouvais pas beau, le plus beau c'était Adriel, grand, les yeux clairs comme votre grand-père, une carrure fine, élancée, un mannequin toi t'étais genre une petite patate avec des yeux sombres, c'était tout. Un baiser, un autre, tu te sens te perdre de plus en plus en lui, en son odeur. T'as un rire, ton frère, jaloux de vous, il avait retrouver le gamin qui faisait tourner son univers, il n'avait pas à être jaloux, il le connaissait déjà par cœur alors que toi tu savais des bribes du passé d'Alec. T'as un rire aussi, une question qui fait disparaître ton sourire, la semaine qui avait été compliquée, beaucoup de clients, beaucoup de clients qui essayaient de draguer ton frère, personne ne te voulais toi, ça te dérangeait pas, jamais, le plus dur c'était de croisé le policier plusieurs fois quand il rentrait chez lui, tu le voyais à travers les vitres du magasin et t'avais peur qu'il te reconnaisse et rentre, c'était dérisoire, t'avais tes pouvoirs ici tu pouvais le tuer si tu le voulais. La main dans ton dos, il est sérieux, un peu trop, il serait capable de tuer si quelqu'un t'embêtait juste, tu le savais. Le doigt qui essuie le sucre sur le coin de tes lèvres, tu deviens un peu trop rouge. Vos regards qui s'accrochent encore un peu, avant que tu ne brises l’interaction, avant que tu baisses les yeux, te rapproche de lui et pose ta tête sur son épaule. « I missed you. » T'aurais jamais cru l'avouer, dormir dans ses bras t'avais manquer rien que quand t'étais arriver chez toi. « I. I saw him, several times, the cop, that's the road he takes to go home. » Tu ne diras pas que t'as peur mais tes poings se resserrent un peu plus sur le tissu de sa veste de service. « Lots of people, and you never came until tonight. » Un petit rire, ce n'était pas une promesse qu'il avait fait. « I'm gonna be alone again too, since my brother's soulmate is back, I guess I'm gonna have the appartment for myself. I don't like being alone if you hadn't noticed yet, and I'm not a big fan of the police station either. » Un petit rire, c'était rien de plus, t'avais voulu le voir. Tu voulais juste le sentir contre toi. « And you ? Did ya take care of your niece ? » Tu demandes, t'as envie de rire un peu, tes lèvres qui glissent dans son cou, pour tu reviens à l'attaque de ses lèvres, le sentir, t'avais juste besoin de ne plus être seul.
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Alec Alvarez
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message posté :
Mer 3 Avr - 10:26


Un baiser. Le premier d'une longue série. Mais le premier était important. Celui qui est un peu raté parce qu'il est fait un précipitamment, parce que ce n'était pas le bon moment pour le faire, parce que l'envie était trop forte.Généralement, c'est comme ça, mais pas celui-là. Tu l'avais senti qu'il était spécial. Sans doute parce qu'il était le premier de Neveah, mais pas seulement. Parce que celui-là n'était pas fait dans la précipitation. Tu t'étais retenu de l'embrasser depuis que l'imprégnation. L'embrasser dans cette salle d'interrogatoire. Mais ça n'aurait pas été le bon moment, ça aurait été trop rapide. L'arrière boutique n'était sans doute pas l'endroit le plus romantique, mais il n'y avait que vous deux et rien que vous deux. Un premier baiser dans l'intimité. Un peu timide, mais qui prend de l'assurance. Un premier baiser doux qui lui montre les sentiments que tu as pour lui. Les sentiments naissants, ceux qui grandissent de jour en jour. Tu embrassais bien. Un sourire, un rire. Ton égo qui est flatté, mais lui aussi embrassait bien. Nevaeh qui se met à trop parler. Son rythme cardiaque qui s’accélère. Il parle. Un peu trop. Un peu trop vite aussi. Le sourire qui se dessine quand il te demande si tu voulait être son petit-ami. Tes lèvres qui s'agrandissent un peu plus lorsque tu lui donne la réponse. Bien évidemment que tu l'étais à présent. Deux âmes qui sont liés. Tu sais très bien qu'il y aura plusieurs étapes à franchir pour renforcer ce lieu, pour prouver que ce n'était pas une erreur. Et tu voulais les réussir. Tu voulais vraiment finir ta vie avec Nevaeh, alors que tu venais de le rencontrer. C'était sans doute stupide, mais tu t'en fichais. Tu voulais que son frère soit jaloux de vous, qu'ils vous envie plus que tout. Puis une question sans doute trop banale. Tu voulais savoir comment s'était passé la semaine, comment s'était passé les quelques jours où vous étiez loin de l'autre. Une autre sans doute débile, puisque tu lui demandais toujours comment s'était passé sa journée dès que tu lui envoyais un message. Vos regards qui restent accrochés pendant quelques secondes durant la question, puis qui se brisent quand le sorcier met sa tête sur son épaule. « I missed you. » Un baiser sur son front. Ta main dans son dos, qui le caresse, qui le serre contre toi. « I missed you too Neva'. » Son odeur. Sa voix. Sa présence. Lorsque tu rentrais, tu imaginais parfois qu'il t'attendais, qu'il te sauterait dans les bras pour te montrer à quel point il t'avait manqué. Tu imaginais sa voix quand tu lisais les messages. Mais ce n'était pas assez. Tu voulais quelque chose de plus. Tu voulais pouvoir le tenir dans tes bras lorsque tu t'endormais, t'enivrer de son odeur. Tu le faisais maintenant, tu en profitais après tout. « I. I saw him, several times, the cop, that's the road he takes to go home. » Tu te redresses un peu trop vite, un peu trop violemment aussi. La peur. La colère qui t’envahis. Tes yeux qui plongent dans le sien. Tes mains qui attrapent son visage, qui le caressent doucement. « Did he talk to you ? Or do something ? » La peur qu'il prend le dessus. Tu sais que tu pourrais tuer ce policier s'il venait à toucher, à approcher Nevaeh alors qu'il n'en avait pas l'autorisation. Légitime défense, ça pourrait passer après tout. Tes bras qui l'enlace, qui le blottissent contre toi, comme si tu voulais le rassurer, comme pour lui dire que tu étais là pour lui quoi qu'il arrive. Tu le sens que ça le stresse, que ça l'angoisse. Ses mains qui tirent sur ta veste de service. Tes mains qui caressent son dos, qui le masse. Tes lèvres qui se déposent sur son cou pour un baiser. « Lots of people, and you never came until tonight. » La fatigue qui se voyait sur son visage même avec le rire qu'il voulait avoir. Un léger sourire qui se dessine sur ton visage. « Sorry, I was busy. Lot of night work this week. » Tu sais même pas pourquoi tu t'excuses. Tu n'avais rien promis, tu lui avais dit que tu essayerais de venir le voir après le travail. Ce n'était pas une promesse et pourtant tu te sens comme coupable. « I'm gonna be alone again too, since my brother's soulmate is back, I guess I'm gonna have the appartment for myself. I don't like being alone if you hadn't noticed yet, and I'm not a big fan of the police station either. » Ton sourire qui se perd. Tu sens encore cette peur, cette angoisse. Mais ce n'était pas la même. C'était celle de se retrouver seul, à nouveau. Comme il l'avait pu être cette semaine. Tes mains qui se trouvent à nouveau sur ses joues. Un sourire en coin qui se dessine. « Maybe I'll go to your appartment or you can go to mine. » T'es sérieux. Un peu trop. Sans doute que tu pourrais même aller chez lui quand tu auras terminer un service. Apporter à manger, passer la soirée, la nuit ensemble dans ses bras. « And you ? Did ya take care of your niece ? » Ses lèvres sur ton cou, puis tes lèvres. Un baiser que tu prolonges un peu avant de rire, avant d'emprisonner les siennes avec tes demandes.« Night working, some not so easy cases and my niece when i was not working the night. » Un petit soupir qui s'échappe de ta bouche. Tu l'aimes ta nièce. Énormément même. Mais c'est toi qui l'élève, alors que ça ne devrait même pas être le cas. Elle avait même sa chambre dans ton appartement. Une chambre qui est décoré, avec des jouets et qui était certainement mieux que celle qu'elle pouvait avoir avec sa mère. Le travail de nuit. Les enquêtes. Les nouveaux cadavres. Ca t'avais fatigué aussi. Quelque chose était en train de se passer, mais tu ne savais pas quoi encore et tu ne voulais pas le dire à Nevaeh pour ne pas l'inquiéter. Après tout, sa famille avait construit un nouveau monde. Un monde parfait pour vivre en harmonie. « She'll probably like you. She loves everyone. » Un rire qui s'échappe de tes lèvres. « Especially when that people make uncle Alec happy. » Un sourire en coin. Tes lèvres qui plongent sur les siennes. Oui, il te rend heureux. Avec lui, tu sens ton cœur battre un peu plus fort. T'as même l'impression qu'il va sortir de ta poitrine.
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Nevaeh Rivera
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message posté :
Jeu 4 Avr - 19:29


Peut-être que c'était mal, que tu devrais pas en demander autant de lui, peut-être que t'aurais pas dû lui dire à demi-mots que t'avais été triste qu'il soit pas venu avant, c'était pas sympa et tu le savais mais c'était pas un mensonge t'avais attendu chaque soir qu'il vienne, t'avais fait chaque fermeture dans l'espoir qu'il passe la porte du magasin, que tu puisses le voir ne serait-ce qu'une seconde, qu'il se moque de toi pour avoir tellement envie de le toucher, de le sentir, de le voir. C'était pas sympa, c'était mal, c'était comme si t'avais entendu toute ta vie qu'il vienne et t'avais été heureux quand il l'avait fait, un peu trop heureux. Adriel qui avait retrouver Keith, ils étaient bruyant et tout sauf discret, t'avais même vu quelques filles pendre des photos quand ils étaient dans les bras l'un de l'autre, ils étaient beaux, de vrais modèles photos, toi t'étais toujours celui de derrière dont tout le monde se foutait de toutes façons ça te changeait pas vraiment. T'avais jamais eut d'histoires toi de toutes façons, la cinquième roue du carrosse, la personne qui tenait la chandelle aux amoureux, toi, tu voulais juste une histoire qui durerait toujours, t'avais toujours dit non aux gens qui te voulaient, parce que tu voulais le bon, tu ne voulais pas souffrir, tu ne voulais pas finir accro aux drogues comme Hayley ou bien le cœur en miette comme Eliott ou encore comme ton frère, dans l'attente de l'être aimer sans cesse, qui guette chaque entrée et sortie comme un fou. Pourtant, tu deviens comme ça, avec lui, t'avais fait ça toute la semaine et t’arrive pas à ne pas pensée à lui, tu l'as vu seulement deux fois et pourtant sa voix raisonnait dans ta tête comme une putain de symphonie qui te défonçait le cerveau. C'était trop, c'était encore plus entêtant depuis que ces lèvres s'étaient posées sur tes lèvres. Depuis qu'il t'avait embrasser t'avais l'impression que y avais un court-circuit dans ta caboche et ça te rendait fou.Tu lui dit, il te manque, tu lui dit aussi pour le policier, la peur qui apparaît dans tes yeux la peur de te perdre peut-être, la peur. Tu dis non, de la tête, parce que t'as pas envie d'en parler encore, que c'est un peu trop angoissant et que ça te prenait à la gorge un peu trop aussi. Il devient un peu trop sérieux, peut-être qu'il sent que t'as peur d'être seul, parce que c'est le cas, t'as peur d'être seul, peur de décevoir les gens et peur de te retrouver encore une fois exclus de tout parce que t'es célibataire. Enfin, plus maintenant, mais t'as peur que ce soit juste de passage et tu veux pas de ça, jamais. T'as un sourire, quand il parle de vos appartements, t'aimerais emménager avec lui, ne pas être seul, plus jamais, t'aimerais. Il bossait de nuit, ça expliquait pourquoi il ne venait pas, trop fatigué, il devait dormir, tu t'en veux un peu, t'aimes pas les gens égoïstes et t'as l'impression d'en devenir un. Puis il parle de sa nièce, elle aime tout le monde, t'as un petit rire, les enfants n'étaient pas très friands de toi en général, il avait l'air plus gentil que toi Alec, vraiment plus approchable. Tu redresses la tête un peu trop vite, tu le rends heureux, et ton cœur qui bat un peu plus. Les lèvres qui se posent sur les tiennes, encore, et tu fonds, littéralement, contre lui, dans ses bras t'as rien d'autre qui te faisait plus envie. « I make you happy ? » T'as un sourire, timide, qui se transforme vite en sourire en coin quand tu l'embrasses dans le cou. « I want to see where you live. » Tes mains qui glissent un peu sous son uniforme, tu sais que rien ne se passera, tu veux juste sentir sa chaleur et le faire dans un environnement plus approprier. Un autre donuts qui passe la barrière de tes lèvres. Tu le regarde, un peu trop, surtout quand tu lèches tes lèvres. « So. Here we go ? » Ta main qui lui donne une bouchée de ce qu'il a ramener ça t'amuses juste un peu trop.
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Alec Alvarez
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Why do we smile? Why do we laugh? Why do we feel alone? Why are we sad and confused? Why do we read poetry? Why do we cry when we see a painting? Why is there a riot in the heart when we love? Why do we feel shame? What is that thing in the pit of your stomach called desire?

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message posté :
Sam 6 Avr - 13:32


Il t'avait attendu tous les soirs, tu le savais. Tu ressentais cette déception à l'heure de la fermeture. Un message que tu lui envoyais pour lui demander si sa journée s'était bien passé, comment était les clients. Peut-être que c'était trop, que tu en faisais trop. Après tout, cela ne faisait qu'une semaine que tu le connaissais. L'imprégnation qui était trop forte. Sans doute parce que tu étais déjà dans un âge avancé, qu'il fallait que tu rattrapes le temps perdu. Les émotions, les sensations qui arrivent d'un coup. L'amour que tu ressens pour lui qui ne fait qu'augmenter de jour en jour. Toi qui était contre ce système, te voilà pris au piège dedans. T'es sans doute un peu trop heureux d'ailleurs. Des excuses parce que tu travaillais de nuit, pour les heures supplémentaires à causes d'affaires compliqués. Ce n'était que maintenant que tu avais pu aller le voir. Un week-end rien que pour vous deux. Tu aimerais ça, mais tu sais bien que c'est presque impossible. Ta sœur qui allait frapper à ta porte, qui te harcèlerait presque pour garder ta nièce. Mais si tu pouvais déjà profiter de cette soirée avec lui, ce serait le plus beau des cadeaux. Ta nièce qui vient ensuite dans la conversation. Il a dû le voir que tu t'occupais d'elle. Un peu trop même. Ta nièce qui commençait à t'appeler papa. C'était mignon, mais ce n'était pas la réalité. Tu essayais de lui faire comprendre que ce n'était pas le cas, qu'elle ne devait pas t'appeler comme ça. Mais ce n'était qu'une enfant, elle ne comprenait pas et elle continuait. Après tout, ce n'était pas complètement faux. Tu agissais comme un père avec elle. Un sourire qui se dessine lorsque tu parles d'elle, qui s'agrandit lorsque tu dis à Nevaeh qu'elle allait bien l'aimer parce qu'il te rendais heureux. « I make you happy ? » Tes mains qui caressent ses joues lorsque tu vois le sourire timide qui apparaît sur son visage. Il était magnifique. Ce n'était pas encore assez fort pour le décrire. Un léger soupir qui s'échappe de tes lèvres lorsque tu sens les lèvres de l'apothicaire sur ton cou. « You make me happy. » Le sourire qui ne quitte pas tes lèvres. C'est sans doute la première fois depuis un long moment que tu n'étais pas senti aussi bien. Tu te sentais comme complet avec lui.« I want to see where you live. » Un frisson le long de ton dos quand tu sens ses mains passer sous ta veste. Geste innocent, mais qui là aussi fait du bien. Ses mains qui étaient un peu plus froide que ta peau, qui se réchauffaient rapidement aussi. Tes bras qui l'enlacent, qui le serrent contre lui. Ton sourire qui ne fait que s'agrandir lorsque tu vois le donuts entre ses lèvres, entre ses dents. Tu sens tes joues devenir rouges lorsqu'il se lèche les lèvres, lorsqu'il enlève le sucre blanc avec sa langue. Une vision qui te donne d'autres idées. « So. Here we go ? » Un morceau de donuts qui se trouvent entre deux dents, que t'avale rapidement aussi avec un grand sourire. « Here we go. » Tu lui prends sa main, te redresses avant de partir de la boutique, de l'emmener jusqu'à ta voiture. Ta main qui se pose sur sa cuisse tout le long du voyage, qui la caresse, qui la serre doucement. T'avais vraiment besoin d'un contact avec lui sinon cette sensation de manque te viendra. La voiture qui tu gares en face de ton immeuble. Pas vraiment un immeuble de luxe. Tu peux pas te payer plus avec un seul salaire. Un sourire quand tu lui prends la main, que tu l'emmène vers l’ascenseur. Un baiser, des mèches que tu replaces derrière son oreille et enfin la porte de l'appartement. Ta main qui se serre autour de la sienne lorsque tu l'emmène à l'intérieur. « That's my home. » Tu semblais presque un peu gêné de lui montrer. Il était rangé et nettoyer, mais il semblait vide. T'avais juste les meubles qu'il fallait. Les murs étaient peu décorés. Mais t'avais pas le temps et pas vraiment l'envie. Et puis, tu t'étais fait à cette décoration minimaliste. « I know … the decoration is ….. too simple. » Un rire, presque nerveux, qui s'échappe de tes lèvres. « Maybe I will need help for that. » Tu le rapproche de toi. Un sourire en coin qui se trouve à présent sur ton visage. Tes lèvres qui se rapprochent doucement des siennes, qui s'y déposent. Un autre baiser. Doux et surtout plein d'amour. Un baiser qui durent un peu trop longtemps, qui s'intensifie. Tu demandes plus, sans doute un peu trop. Vos lèvres qui se séparent. Tu devrais t'excuser, mais tu ne le fais pas. T'es même content. Tu avais eu ta dose après tout.
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