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Maybe we just live between hurting and healing {alec&nevaeh}

Nevaeh Rivera
Nevaeh Rivera
the mind dragon
Maybe we just live between hurting and healing {alec&nevaeh} Tumblr_inline_pnp51gVaEu1u9urvd_400

à philadephie depuis à philadephie depuis : 08/03/2019

pétales tombées pétales tombées : 0

fleurs cueillies fleurs cueillies : 9


faceclaim faceclaim : Noah centineo

crédits crédits : kidd


occupation occupation : apothecary with his brother next supreme in his father coven

Maybe we just live between hurting and healing {alec&nevaeh} OOtrSLp

“I wondered what that was like, to hold someone’s hand. I bet you could sometimes find all of the mysteries of the universe in someone’s hand.”

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message posté :
Ven 22 Mar - 15:03


Les menottes qui serrent tes poignets, comme si t'étais un vrai criminel, t'as rien fait de mal en plus, c'est pas la première fois. T'as l'impression que personne ne te connaît, comme si t'étais un inconnu, comme si t'étais pas un descendant directe de la plus grande directrice d'un Coven de sorcière au monde et de son fils, comme si tu n'étais pas un dragon. L'invisibilité, parfois tu l'apprécies, surtout quand tu te bats, quand t'élimines la peur et la fatigue, la peur d'être de trop dans cette famille beaucoup trop nombreuse qui donnait mal à la tête, t’espérais ne pas faire autant d'enfants que tes parents et tes oncles. Certains avaient fait le choix de ne pas en avoir maintenant ils avaient l'éternité devant eux, tes grands-parents qui avaient disparus, ils voulaient vieillir en paix, loin du monde, les deux pieds dans le monde des morts parfois ils revenaient, des fantômes, eux, en vie, sans douleur, sans peur, ce n'était plus douloureux, c'était une aube nouvelle, une génération nouvelle, vous étiez les combattants de demain, entraînés, qui maîtrisaient leurs pouvoirs. Vous étiez les dignes descendants de vos parents, de vos grands-parents, vous étiez des princes, des guerriers, la génération qui allait prendre place. Une éducation aimante. Des gosses qui avaient encore le temps de grandir, le magasin que tu tenais en parallèle de tes études pour succéder à ton père, Adriel n'avait pas envie, il voulait bien donner un coup de main mais les responsabilités n'étaient pas sa tasse de thé, pourtant il était censé être celui qui deviendrait le prochain suprême, il avait renoncé quand à ses dix-huit ans on lui avait annoncé, ça serait toi, t'avais peut-être plus les épaules pour la tâche, plus réfléchit, plus calculateur, tu faisais confiance à ton instinct. Comme ton grand-père, le loup, le grand, le roi, l'Alpha, ton cousin lui ressemblait plus, mais t'avais le tempérament d'un loup, de ton grand-père, on te le disait, te le répétait, t'aimais savoir ça. Les menottes que tu fais cliqueter contre la table en fer, tes pieds qui se balancent comme si tu étais condamné à la perpétuité. T'aimes pas attendre, t'aimes pas les interrogatoires non plus. Combats illégaux, pratique illégale et non réglementer du parkour et intrusion dans des usines désaffectées. T'avais jamais été condamné, y avais pas de quoi, en plus t'avais une boutique à tenir, ces maudits flics qui venaient chercher des informations dans ta boutique et qui dans le même temps t'embarquait pour te foutre dans cette salle avec un miroir sans teint qui te donne de la claustrophobie et la nausée. La balafre sur ta joue, sous ton œil, du sang qui coule encore, la cicatrice près de ta mâchoire qui relate des histoires passées. Les bleus sur ton torse qui sont cachés relativement par un crop-top et par un collant en filet, ton jean taille haute tâché de sang, tes chaussures militaires que t'as voler pendant ton initiation au service militaire. Tes ongles vernis de noirs qui tapent sur la table en fer, t'attends un peu, tu veux juste partir, t'essaie d'entendre, de sentir, puis les pas qui arrivent, tu tires un peu trop sur les menottes. « Fuck you guys I have no drugs or shit you can't prove anything. » Tu regardes pas la personne, tu t'en bas la race tu veux juste t'enfuir.
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Alec Alvarez
Alec Alvarez
the policeman
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faceclaim faceclaim : matthew daddario

crédits crédits : .Cranberry (avatar)


occupation occupation : police officer, trying to get this world better

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Why do we smile? Why do we laugh? Why do we feel alone? Why are we sad and confused? Why do we read poetry? Why do we cry when we see a painting? Why is there a riot in the heart when we love? Why do we feel shame? What is that thing in the pit of your stomach called desire?

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message posté :
Sam 23 Mar - 16:51


Tu devais terminer tôt. Avoir du temps libre pour toi. Ça faisait longtemps. Des semaines. Soit tu enchaînais les longues journées aux postes parce que tu étais sur une grosse enquête et que tu voulais que ça se termine vite. Tu savais très bien que si ça venait à s'éterniser, les chances de résoudre l'enquête devenait de plus en plus faible. Et lorsque tu pensais que tu pouvais être un peu libre, ta sœur venait frapper à ta porte pour que tu puisses garder ta nièce. Tu l'aimais bien la gamine, elle était adorable, mais ce n'était pas vraiment ce que tu avais envie de faire lorsque tu rentrais du travail. Ta journée qui se terminait et t'avais rien de prévue. Jusqu'à ce que tu vois un message sur ton téléphone. Ta sœur qui te dit qu'elle t'attendait devant la porte de ton immeuble, qu'elle avait quelque chose de prévu et qu'elle avait personne pour garder la petite. Toujours toi. Jamais ton autre sœur est demandé pour pouvoir la garder. Alors qu'elle l'aime bien et qu'elle s'occupe tout aussi bien d'elle. Mais non, ce n'est jamais Tallullah qui est la première à qui on pense. T'as vu le message, tu lui as dit que tu n'étais pas disponible, que tu avais encore du travail et qu'il fallait qu'elle trouve quelqu'un d'autre. C'était le seul moyen pour qu'elle te laisse tranquille. Et encore, tu vas être obligé de rester au travail, parce qu'elle serait capable de t'attendre pour vérifier si tu n'as pas menti et te refiler quand même la gamine.Tu remets tes affaires. Tu fais de la paperasse, pas vraiment ton truc, mais tu dois bien trouver quelque chose à faire. Un de tes collègues qui vient te voir pour que tu sois en charge d'un interrogatoire. Un gamin qui s'est fait prendre lors d'une descente dans une usine abandonnée pour des combats illégaux. Sans doute qu'il savoir quelque chose puisqu'il s'était enfui en courant dès que la police s'est approchée de lui. Et ce n'était pas une petite fuite. Le gamin avait fait du parkour. Tu te diriges vers la salle. On te montre le gamin. Il te rappelle vaguement quelqu'un. Puis le dossier. Nevaeh Rivera. Le gamin de la boutique. Tu le regardes à nouveau. Deux personnes différentes. Il n'avait rien de la personne que tu as pu voir dans la boutique. Comme s'il avait une autre personnalité, plus provocante. Tu gardes le dossier dans les mains et tu te diriges vers la salle. « Fuck you guys I have no drugs or shit you can't prove anything. »  Tu avais à peine ouvert la porte que la voix du gamin s'était fait entendre. Oui, il n'avait rien du gamin auxquels tu avais pu demander des informations. Tu t'installes en face de lui, le maigre dossier ouvert. « Illegal fight club huh ? » Tu tournes la page pour faire comme si tu prenais connaissance du dossier, alors que tu l'avais déjà lu. « And runaway. »Tu lèves les yeux, t'as un sourire en coin qui se dessine sur ton visage. Le gamin qui a sa tête baissé, qui préfère regarde le sol ou le plafond plutôt que de parler. «Well Mister Rivera, you will stay here for a moment if you don't give us some informations. » Tu t'installes au fond de la chaise, tu croises les bras en espérant croiser son regard. On t'a souvent dit que c'est dans les yeux, dans le regard d'une personne qu'on pouvait savoir la vérité, qu'on pouvait avoir des informations. Soudain une odeur qui envahi la pièce. Citron et sirop d'érable. La même odeur que tu avais pu sentir dans le magasin. L'odeur du gamin. Une odeur qui commence à te faire perdre doucement la tête.
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Nevaeh Rivera
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message posté :
Sam 23 Mar - 21:07


C'était compliqué la famille, ça l'avait toujours été, l'immortalité comme un cadeau mais le temps sur terre restait limité, qu'on le choisisse ou non. Tes grands-parents avaient choisit, ils avaient fait leur temps avec vous, ils viendraient pour les événements importants, mais ils étaient sans doute morts, des esprits qui regardent, admirent le nouveau monde qu'ils ont bâtis ensemble. Tu ne savais pas qui était le digne hérité, Eliott était sans doute celui qui avait le plus de point commun avec Nayeli, il était impulsif, possessif, il avait peur de son pouvoir et il comptait trop sur les gens pour l'aidait, c'était un rêveur, toi, t'étais celui qui avait les pieds sur terre, fataliste, qui se battait pour survivre, pour essayer de survivre dans un monde où tout n'était pas encore régler, l'utopie qui avait deux faces, deux vérités. La violence qui vivait dans chacun d'entre-vous, les combats illégaux pour se faire un peu d'argent, plus le temps passait plus les instincts ressurgissaient chez les gens. C'était dérangeant d'avoir cette envie de te battre pour n'importe quoi. T'étais neutre, le chaos qui vivait pourtant dans ton sang, t'avais refuser le choix des anciens, ils étaient trop vieux, ne vous connaissez que sur des actions qui ne duraient que quelques minutes et pas sur toute votre vie. C'était stupide et élitiste c'était des vieux qui voulaient mettre les gens dans des boîtes et qui voulaient fragmenté le monde en trois parties, gentils, méchants, neutres. T'étais qui tu voulais être, tu voulais avoir la totalité de ton potentiel entre tes propres mains, tu voulais avoir les yeux que tu avais envie d'avoir et pas seulement à cause d'un alignement à la con. Les combats illégaux, toujours d'actualité, deux de tes grand-parents qui avaient participé à ces combats, une issue, le besoin d'extériorisé la douleur, la peur, le trop plein d'énergie, t'étais tombé dedans quand t'avais à peine seize ans, tu te souviens de la peur dans ton ventre, tu te souviens de l'excitation, de l'adrénaline qui avait couler dans tes veines quand t'avais reçu le premier coup, les pouvoirs qui sont interdits, tu ne pouvais compter que sur ton sang de loup. Vainqueur ce soir encore, l'argent que t'avais entraîner dans ton sac dans sa fuite quand t'avais entendu les gens murmurés que les keufs allaient faire une descente à l'usine. T'avais couru, un peu trop vite, deux cicatrices qui avaient embrassées ton visage, une brûlure sur ta joue et une entaille sou ton œil, ta lèvre légèrement ouverte mais juste parce que t'avais mordue à cause de l'angoisse d'être dans cette pièce. T'avais envoyer un message à ton frère pour qu'il vienne te chercher, t'aura pas le droit de partir sans que quelqu'un ne vienne te chercher et tu le savais c'était toujours comme ça de toutes façons. Tes poignets qui font un bruit métallique quand tu les claques sur la table en fer. T'avais envie de briser ces menottes mais elles contenaient tes pouvoirs, un inhibiteur qui prenait ta force quand t'essayais de t'en sortir. T'avais juré, dit qu'ils n'avaient rien contre toi pas de preuves, y avait l'argent, tes blessures, tu pouvais un mytho, dire que t'étais un trafiquant de drogue pour se foutre de leur gueule, t'aimais pas ça. Tu regardes pas la personne qui entre tu te fous de qui c'est, t'as pas envie de voir non plus, t'as juste envie de partir de là et de pouvoir respiré à nouveau, t'avais l'impression de faire un malaise, on te privait de ta magie t'aimais pas ce sentiment. Il parle, tu reconnais cette voix, un soupir un peu trop fort, tes yeux qui roulent dans tes orbites, le connard qui t'avais même pas remercier après que tu lui ait donner des informations sur une potion impliquée dans un meurtre. Ta jambe qui tape sur le sol, tes menottes que tu fais claquer sur le fer de la table, un cliquetis immonde et une sonnerie qui se déclenche quand tes yeux prennent plusieurs teintes en même temps. Une surcharge de pouvoir qui faisait facilement explosé les modules inhibiteurs de pouvoirs si t'y mettais toutes tes forces. Il te regarde le policier et tu le sais. Oui, t'avais fuit, oui, t'avais participé à ces combats illégaux, et puis quoi ? Un moment, il avait dit, t'entendais son sourire narquois même si tes yeux étaient fixé vers le ciel, tes jambes croisées, la chaise qui se balançait même avec le peu de manœuvre que t'avais. « Yeah sure, whatever you say cop'. » Les menottes qui lâchent, une fumée un peu verdâtre qui en sort, tu jettes la camelote un peu plus loin, tes yeux qui prennent leur couleur caramel de nouveau. « Junk. And not good junk. » Tu te balances, nonchalamment, ils peuvent plus rien faire contre toi maintenant. Tes yeux qui se plongent dans ceux du policier. « What are you going to do now ? Mister Alvarez right ? The asshole who didn't even bothered to say thank you after a beautiful and soft apothecary helped him with a case murder. » Tu te redresses, tes bras sur la table, la chaise qui tombe t'es presque allongé, les fesses un peu redressée et une moue sur le visage. « I think your expectations about my powers were too low huh ? » Tes fesses qui se posent sur la table, tes jambes qui se croisent. « Informations about what, the boner you have just looking at my lips and pretty face ? » Sourire en coin, tes yeux qui sourient en même temps que ton visage, t'es moqueur, un peu trop, t'as sentie l'imprégnation, t'as décidé de pas y faire attention, t'es pas un tendre, tu le seras jamais. Tu te déplaces, devant lui, donne un coup de pied dans le dossier, rapproche ton visage trop près du sien, la magie qui ouvre les boutons de son uniforme, t'es pas prêt d'arrêter la provocation.
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Alec Alvarez
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message posté :
Dim 24 Mar - 10:43


Un interrogatoire, ce n'était rien de bien compliqué. T'arrivais généralement à avoir les information assez rapidement. Sans doute parce que tes iris rouges d'alpha apparaissaient et qu'ils n'étaient aussi courageux qu'ils n'avaient pu le montrer. Les informations, les aveux en une ou deux heures. C'est sans doute pour ça qu'on t'appelait souvent pour les faire. Sauf que tu savais que ça n'allait pas si facile que ça. Rien qu'en regardant le dossier du gamin. Rivera. Un nom de famille que tout le monde connaît. Le premier phoenix qui a débarrasser les humains de cette planète. Une nouvelle ère qui avait commencé, les créatures magiques qui avaient enfin repris le contrôle, qui avait repris leur droit. Tes grands-parents te racontaient souvent ce changement. Les trois jours où le ciel était en feu. Les cris des gens dans les rues, dans leur maison. La peur d'abord. Celle d'être choisi, de voir sa vie terminer. Ce n'était qu'au deuxième jour, qu'ils avaient compris que ce n'était que les mortels qui étaient la cible. Ils ont pu reprendre leur vie tranquillement. Une nouvelle ère. Des années pour mettre le nouveau système en place, à trouver des accords entre toutes les créatures. L'école qu'ils avaient créé pour que toutes les créatures puissent apprendre à se contrôler. Puis le règne de son fils. Les premiers mouvement de colère. Un système qui n'était pas juste pour certains. Certains même disaient que c'était une dictature. Les attaques envers leur famille, envers l'école qui se faisait de plus en plus nombreuse. Là aussi, le phoenix qui s'est déchaîné, qui a entraîné la mort des rebelles. Peut-être que c'était vraiment une dictature. Une réunion, un conseil qui réunissaient tous les nouveaux chefs pour mettre en place des changements. La police qui était de retour. Les moyens pour les hôpitaux qui avait été augmenté. Le nombre de médecins aussi. Les écoles qui se construisaient un peu partout et même dans les zones les plus reculés. Ils voulaient tout faire pour que ce monde soit meilleur, que tout le monde puisse vivre en paix. Le gamin venait de cette famille et ce n'était certainement pas un des plus tendre. Un soupir que tu entends lorsque tu commences à parler. Sans doute que le gamin t'a reconnu. Les bruits des menottes qui se faisaient entendre, comme s'il essayait de trouver un moyen pour pouvoir les enlever. Des menottes qui diminuait l'intensité des pouvoirs, l'intensité de la force de certaines créatures. Elle tenait habituellement, mais là tu n'en étais pas certains. Après tout, le gamin descend de deux dragons, de deux sorciers les plus puissants qui pouvaient exister. Tu entres en disant les faits d'inculpation, comme toujours. « Yeah sure, whatever you say cop'. » Le gamin qui se balance sur la chaise, puis la fumée verte qui s'en échappe. Les menottes qui étaient mortes. Il avait des pouvoirs trop puissants pour les contenir. Un soupir qui s'échappe de tes lèvres. « Junk. And not good junk. ». Tu t'installes, lui aussi. Vos yeux qui se rencontrent. Des images images qui te viennent. Lui. Tu vois toute la vie de ce prince. Tu serres les dents. C'était l'imprégnation, tu le savais, tu le sentais. L'odeur qui se fait de plus en plus présente, c'était bien à cause de lui. Tu ne dois pas faire attention à ça. Tu travailles, ce n'est pas la première de te priorités. C'est ce que tu te disais, mais t'étais comme bloqué. Ton regard qui fixait ce visage, qui le mémorisait. Tes yeux qui n'étaient rivés que ses lèvres. Tu bossais, tu devais te reprendre. « What are you going to do now ? Mister Alvarez right ? The asshole who didn't even bothered to say thank you after a beautiful and soft apothecary helped him with a case murder. » Nevaeh qui provoque, une fois de plus. Nevaeh qui s'allonge presque sur la table pour être au plus proche de toi. Tu te souviens de la fois où t'es allé dans la boutique pour avoir des renseignements sur une affaire. T'étais pressée, même les questions que tu lui avais posé était sans doute trop rapide. « We have some cells, for those who are powerful. » Un autre système de sécurité. Tout le monde savait que les menottes étaient limités. Ce n'était que la première mesure de sécurité. « And I'm not sure you will like that kind of cell. Smaller and no windows there. » Tu l'avais bien remarqué qu'il n'était pas très à l'aise dans cette pièce. Rare sont les personnes qui l'étaient. « I think your expectations about my powers were too low huh ? » Un rire qui s'échappe de tes lèvres. « Too low ? I kinda disapointed about it. I though you will broke these sooner. » Tu t'installes au fond de ta chaise. Lui donne un coup de pieds dans le dossier. Les feuilles qui se retrouvent au sol. Tu te pinces les lèvres. Ton loup qui veut juste lui sauter dessus, le faire tien le plus rapidement possible. Un léger grognement qui s'échappe de tes lèvres. Tu luttes. Ce n'est pas le moment. « Informations about what, the boner you have just looking at my lips and pretty face ? » Tu grognes un peu plus fort lorsque les boutons de ta chemise saute. Tu te redresses. Vos visages sont beaucoup trop proche. Il provoque. Encore.Il n'allait pas s'arrêter, tu le sais, tu le sens. Tu entres dans son jeu. Ton visage qui se rapproche. Un sourire un coin qui se dessine. « Do you just bribe a cop ? You will stay here for a long moment. » Tu te rapproches un peu plus. Tu peux sentir sa respiration. « Informations about the fight club. Who organized it ? How do you know the place ? » Tu te recules, tu croises les bras. T'as ce regard un peu trop sérieux.
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Nevaeh Rivera
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message posté :
Dim 24 Mar - 11:42


Ces regards comme si t'étais un putain de criminel, comme si t'avais buter quelqu'un de sang froid alors que tu faisais juste des combats pour gagner de l'argent, comme si tu te droguais comme si t'étais une sorte de paria de la société, t'aimais pas te sentir observer par les gars qui t'avais attraper, dans la voiture des policiers, des regards un peu trop lubrique, une main sur ta cuisse pendant toute la route, la main sur ta nuque pour te forcer à sortir, les doigts qui te choppait la nuque, les cheveux qui se faisaient tirés dans la manœuvre, t'avais envie de vomir, t'avais senti les doigts sur ta peau au niveau de ton ventre et t'avais voulu t'enfuir, t'avais voulu partir directement, c'était pas la première fois, c'était pas la première fois que tu te retrouvais au poste, c'était pas la première fois qu'ils te touchaient, qu'ils tripotaient sur le fait de se taper un prince. C'était dur de rester poli c'était dur d'accepter de voir leurs yeux qui te déshabillaient et les regards dégoulinant de luxure qu'ils posaient sur ton corps. Le sourire narquois qu'il t'avait lancer quand il t'avais attacher dans la salle d'interrogatoire, quand il avait dit qu'il viendrait te rejoindre ici après parce que t’aillais pas bouger de la nuit, t'avais eut envie de vomir, t'avais même pas réussi à parler tellement t'étais dégoûté. C'était juste histoire de s'amuser, de dépenser son énergie, les gens aimaient ça, c'était une sorte de spectacle. T'avais sursauter quand la porte s'était ouverte, il n'y avait presque plus personne dans le poste, tu voulais pas finir comme ça, tétanisé par la peur et en plus avec tes pouvoirs qui ne voulaient pas fonctionné sous l'influence de cette émotion qui te bouffait de l'intérieur. T'avais été arrogant, provocant, t'étais comme ça, t'avais besoin de te sortir de là, t'avais besoin de respiré, de ne jamais revenir, d'oublier la sensation des mains sur ton ventre et sur tes fesses, dans ta nuque, t'avais besoin de vomir aussi. Tu parles trop, tu provoques, presque allongé sur la table, le regard un peu trop expressif, il pouvait voir que tu te foutais de sa gueule. Les cellules, pour les gens comme toi, t'as un frisson de malaise qui passe dans ton corps, tu voulais pas, tu voulais pas te retrouver seul avec ce fils de pute qui voulait te violer, tu l'avais senti quand il t'avait toucher, il profitait des prisonniers, faisait des promesses de liberté pour se faire plaisir avec leurs corps. Tu dis rien, tu veux pas céder, ne pas lui montrer, que t'as peur, que tu flippes à l'idée d'être enfermer dans une pièce étroite, sans fenêtre, avec un policier libidineux qui voulait te posséder comme une poupée de chiffon. Il rit, il pensait que t’allait te débarrasser des menottes plus tôt, tu voulais pas qu'il revienne plus tôt, tu l'avais pas fait pour ne pas déclencher l'alarme. Provocant, sourire, le dossier au sol, les feuilles qui s'envolent, t'étais de la pire espèce pour eux, tu ne parlais jamais, tu ne parlerais jamais, malgré l'odeur qui commençait à envahir la pièce, qui commençait à faire se tendre tes membres, t'avais l'impression qu'il était partout et qu'il allait rentrer dans ta tête et t'aimais pas ça. Il se pince les lèvres, il se retient, t'as un sourire, un grognement gutturale qui sort de sa gorge et tes doigts caressent tes lèvres dans une manœuvre d'égarement. Tu veux le perdre en toi, le rendre fou. Tu fais sauter les boutons de sa chemise, un tu te rapproches, un peu trop, t'as un sursaut quand il se redresse, il est plus grand que toi, même si t'es en hauteur, le sourire en coin qu'il a qui ne t'inspire pas. Il te dit que t'as essayer de le soudoyer, t'as même pas demander à sortir, t'as rien fait de tel, t'as les sourcils qui se froncent un peu trop, tu claques des doigts, le sweat-shirt de ton grand père qui apparaît sur toi, qui cache ta peau, t'as pas confiance, tu devrais, c'est ton âme-sœur après tout, mais t'avais pas confiance en ce regard. « I didn't. Didn't even asked you to let me go, bribe is when you give favors to a cops and then he does something for you, that's not the case, I thought you would knew that Alvarez. » T'as appris tous les codes quand t'étais encore un gamin, t'as pas de leçon à recevoir d'un crétin avec un sourire de fils de pute sur la tête. « I don't fucking care to be here for twenty-four hours but please tell your pedophile and rapist friend that if he dare to approach my cell I'm gonna make him eat his own penis and throw him in a zoo to be killed and raped by several monkeys. Understand honey ? » T'as ton doigt sur son torse pour le faire reculer. T'es énervé, tes yeux d'un rouge dangereux. « Oh and next time he dares to touch me like he did few hours ago I'm gonna kill his entire family with him. » Le noir qui prend possession de ton regard, le mur qui tremble même et le miroir sans teint qui se brise. Tu te lèves, marche sur la table, t'accroches aux chaînes qui retiennent le néon. « I don't know, they send us texts to say were the next battle is and No soy un jodido colaborador, solo quedate satisfecho con esta información. » Un soupir quand tu sautes de la table. « Bring me food, I'm hungry. » Tu te rassieds sur ta chaise, comme si rien ne venait de se passer, t'as juste faim.
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Alec Alvarez
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message posté :
Dim 24 Mar - 15:10


Gamin qui provoque, comme s'il était sur la défensive. Ce n'était pas la première fois qu'il venait au poste. C'est ce que tu avais pu comprendre. Du moins, c'est ce qu'on t'avais dit. Le gamin qui aime se jouer des policiers, qui les provoques, qui les aguiches. Provoquant, c'est sûr qu'il l'était. Le reste, t'étais moins sûr. Gamin qui est sur le défensive, qui fait tout pour s'échapper, pour survivre. Oui, c'est ce que tu voyais en lui. Un de tes collègues qui t'as souris, qui t'as dis de bien t'amuser avec lui. T'as pas compris. C'était qu'un gosse qu'on avait arrêté pour essayer d'obtenir des informations. T'avais vu pas le regard qui allait avec ses paroles. Heureusement, sinon tu aurais sans doute vomis. Le gamin qui provoque. Les menottes qui lâchent. C'était à prévoir. Une menace. Une pièce encore moins rassurante pouvait l'attendre. Tu voulais juste qu'il se calme un peu, qu'il parle pour avoir des informations. Ou du moins un semblant d'information. T'essayes de rester impassibles. Sauf que l'imprégnation avait eu lieu. Ton loup qui veut prendre possession de toi, pour le posséder lui ensuite. Ce n'était pas le moment. T'essayais de rester le plus calme possible. Les grognements qui s'échappait de ta bouche. Les boutons de ta chemise qui sautait. Rester calme, c'était ce que tu te répétais. Tu te retiens quand c'est à lui de grogner, quand il se met à caresser ses lèvres. Gamin qui est certes provoquant, mais qui est magnifique. Un tableau que tu pourrais admirer durant des heures. Tu reviens à toi. T'essayais les menaces. Soudoyer un policier, ce n'était pas quelque chose à faire. Est-ce qu'il était vraiment en train de le faire ? Sans doute pas. Mais tu voulais juste faire peur.  Un haut qui est apparu. Nevaeh qui porte un sweat-shirt rouge, qui recouvre sa peau comme s'il avait envie de se cacher. « I didn't. Didn't even asked you to let me go, bribe is when you give favors to a cops and then he does something for you, that's not the case, I thought you would knew that Alvarez. » Le sourire en coin qui se trouve sur ton visage est toujours présent, sans doute un peu trop grand d'ailleurs. « You're a clever boy. » Il n'allait pas tomber dans le piège. Il avait dû l'apprendre depuis longtemps. Et puis, si ce n'était pas la première fois qu'il faisait un tour au poste. « I don't fucking care to be here for twenty-four hours but please tell your pedophile and rapist friend that if he dare to approach my cell I'm gonna make him eat his own penis and throw him in a zoo to be killed and raped by several monkeys. Understand honey ? » Tu fronces les yeux. Son doigts qui appuie sur ta poitrine comme pour te faire reculer. Les yeux qui deviennent rouges. Les tiens aussi. Ta main qui attrapes son doigts. Un autre grognement comme pour le calmer. D'autres images qui viennent dans ton esprit. L'arrestation. Ou plusieurs. Toujours avec le même flic. Tu ressens son dégoût. L'envie de vomir, d'hurler qui te vient. Tu comprends les paroles de ton chef, lorsqu'il t'a dit qu'il pouvait faire d'une pierre deux coups. Tes yeux qui retournent à leur couleur naturel. « How creative you are. » Tu te recules d'un ou deux pas. Il n'était pas encore calmé. Ses iris qui était toujours d'un rouge. Les pupilles du gamin qui ressemble à un reptile. Un dragon. Déjà. Tu savais qu'ils existaient, mais tu pensais qu'un sorcier mettait du temps à en devenir un.« Oh and next time he dares to touch me like he did few hours ago I'm gonna kill his entire family with him. »  Ses yeux qui rechange de couleur. Rouge sang qui passe à noir. La colère qui monte en lui. Il n'avait aucune raison de mentir. Les images qui continuent à arriver dans ton esprit. T'as tout ce qu'il faut. Enfin presque tout.  Le miroir qui est fissuré, qui est prêt à tomber en mille morceau. La puissance de cette famille va au-delà de tes espérances. Il s'accroche au néon, se balance. Un véritable gamin. « I don't know, they send us texts to say were the next battle is and No soy un jodido colaborador, solo quedate satisfecho con esta información. » Le gamin qui est de nouveau sur la table, qui s'asseoit.  « Bring me food, I'm hungry. » Un sourire qui se dessine sur ton visage. Pas un sourire en coin. Le sourire de sourire un peu trop réel. Trop sincère. « Thank you. » Parce que t'avais tout ce que tu avais besoin. Les menottes que tu prends à ta ceinture. Tu te lèves et te dirige vers la portes. « I will be back. » Comme si ça allait l'empêcher de partir. T'espérais juste. Tu sors de la pièce. Ton chef qui est à tes côtés, qui te dit qu'il peut s'en occuper. Tu lui dit que non, que tu veux le faire. Sans doute qu'il avait compris que tu t'étais imprégné de Nevaeh. Il a rien dit. Il t'a suivi. Les menottes que tu passes à l'autre policier. Tu serres un peu trop fort, mais tu t'en fiches. Il l'avait bien mérité. Tu regardes les affaires du gamin, l'emmène au laboratoire pour qu'il puisse traquer le numéro qui avait envoyé le message pour le fight club. Après tout, c'était la seule information que tu allais pouvoir avoir de la part du gamin.  Un papier, un stylo que tu prends avant de retourner à la salle où il était. Il n'avait pas bouger. Tu les poses à côté de lui. « Just sign here. » Tu le regardes signer. Le papier que tu mets dans ta poche. Le bras que tu lui prends doucement le bras pour l'emmener à l'extérieur, dans une cellulle. « And you will be in a cell for some hours. Maybe 4 or 5. For the runaways, the fight club, for the insult even he deserves it. » Les autres policiers vous regarde sûrement. Tu t'en fiches. Tu continues à lui parler le plus normalement et calmement possible. « Oh and be nicer with your brother. » T'avais regardé sans faire exprès. C'était le premier message qui apparaissait lorsque tu cherchais pour le fight club. « Lucky you, you're alone. » T'ouvres la portes, tu le laisses entrer. C'était rare. Ou peut-être qu'ils ont libérer tout le monde lorsque Nevaeh est arrivé. « Don't break the door. » Un léger rire qui s'échappe de tes lèvres. Tu repars une nouvelle fois. Tu vas à un distributeur automatique. De l'eau. Un peu de nourriture. Tout ce que tu pouvais lui prendre avec les quelques pièces que t'avais. Tu retournes vers les cellules. « Water and food. » Tu poses devant lui. T'attends à ce qu'il les prenne. Ce n'était certainement pas assez, mais au moins t'avais apporté un peu de nourriture.
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Nevaeh Rivera
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“I wondered what that was like, to hold someone’s hand. I bet you could sometimes find all of the mysteries of the universe in someone’s hand.”

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message posté :
Dim 24 Mar - 17:25


La police, t'aimais pas ça, pendant que ton oncle avait épousé un militaire t'étais plutôt le genre qui aimait les mauvais garçon, enfin, t'aimais, en être un, t'avais jamais eut de copain, ni de copine, t'étais pas de ce genre là, tu préférais être seul, tu voulais être déçu, t'avais vu le cœur de ton frère se briser quand son copain était parti dans une autre ville, tu voulais pas vivre pareille douleur. Tu l'avais vu se briser en morceau quand il avait dû arrêter d'aller le voir à cause de son travail, t'avais entendu ses pleurs, t'avais essuyer ses larmes, tu voulais pas avoir mal, c'était ta phobie de souffrir à cause de quelqu'un d'autre que toi-même. C'était quelque chose que tu refusais de subir. T'avais peur, peur de te briser dans les bras de quelqu'un, alors que Adriel avait son âme-soeur depuis qu'il était gosse toi t'avais personne, tu jouais avec toi même quand ton frère partait pour passer son temps avec la personne qui lui avait prit son cœur. T'avais grandis en parallèle de lui, vos pouvoirs qui étaient complémentaire et pourtant totalement opposés, il était celui qui contrôlait les éléments, toi t'étais celui qui contrôlait les esprits, c'était mal vu par les gens. Les mots qui blessaient, Nevaeh le manipulateur, Nevaeh qui contrôlait les gens pour qu'ils deviennent son ami, Nevaeh qui forçait les gens à l'aimer avec juste des mots, avec un regard un peu trop incisif. Tu voulais pas être amis avec les gens, tu ne voulais pas te prendre des couteaux dans le dos par les gens que t'aimais, t'aimais ton frère mais une distance était déjà assez importante entre vous deux, aucune ressemblance physique, il ressemblait à votre père, la peau pâle, la voix envoûtante, il avait les yeux d'un bleu céruléen comme votre grand-mère, t'avais rien de tout ça, t'étais dur, le corps pas aussi fin que le sien, la peau matte, les yeux foncés et perçant, les grains de beautés et les tâches de rousseurs qui parsemaient ta peau comme si t'étais censé être une quelconque carte céleste. T'étais celui qui achetait ses vêtements juste parce que ça te plaisait et pas pour coller à un physique particulier, t'étais celui qui écoutait la musique un peu trop fort dans la rue et qui hurlait les paroles à la gueule des gens, le petit con qui sautait et qui courrait sur les toits juste pour sentir l'air, pour sentir l'adrénaline dans le sang. T'étais le gosse qui fumait sa clope adossé au mur d'un immeuble qui montait sur les bancs pour effrayer les passants, pour quelques pas de danse. T'étais ce genre de personne, t'étais mieux seul, tu voulais compter sur personne, tu voulais être libre de faire ce que tu voulais. T'aimais pas être enfermé, pas être obliger de parler, tu voulais pas discuter avec des gens qui voulaient ta peau, dans tous les sens du termes. T'as jamais aimer les flics, t'as jamais aimer les gens qui étaient supposés représenter une certaine autorité alors que t’allait en devenir une dans peu de temps. Tu voulais juste partir, défoncé le béton et briser quelques nuques. Peut-être que t'avais besoin de te lâcher. Tu parles devant lui, trop, tu parles parce que t'as peut-être confiance en lui, parce qu'il te fait moins peur, parce que t'as vu sa vie pendant quelques secondes, parce qu'il était ton âme-sœur. Tu parles, tu parles trop, tu le sais, t'as donner une information importante, ils allaient essayer de tracer le numéro, ils auraient de la chance s'il le faisait, les téléphones jetable qu'ils utilisaient pour effacer leurs traces comme toutes personnes avec une logique le faisait s'il avait des trucs à se reprocher. Il te laisse dans la salle d'interrogatoire, t'as un soupir mais tu ne bouges pas, il attendait de toi que tu ne bouges pas n'est-ce pas ? Alors t'allait obéir. Quand il revient, t'as cet air blasé, il te dit de signer, déclaration contre le policier et tu signes, tes initiales, le blason de ta famille que tu te casses les couilles à rajouter, un loup apposé avec les pouvoirs parfois même avec le sang. Tes yeux qui reprennent leur couleur whisky habituelle, il te prend le bras, t'essaie de te défaire, t'aimes pas qu'on te touche, mais son toucher est doux et il te donne presque envie de pleurer. Une cellule, c'est encore plus petit que la salle d'interrogatoire et tout le monde allait te regarder, t'aimais pas ça, l'angoisse qui monte dans ton ventre, mais tu dis rien, t’ose rien dire. Il te dit d'être plus gentil avec Adriel, t'avais pas été méchant, tu voulais juste pas le mêler à tes affaires. Tu devrais être heureux d'être seul, tu l'étais pas, ça voulait dire que d'autres personnes peuvent être amenée à tout moment. T'as aucune expression sur le visage, tu ne ressens rien à part de la peur, la peur que tout recommence. Il rit, t'as rien, pas un sourire, tu t'en fiches, tu t'installes au sol, ça sent la pisse et la sueur, t'as envie de vomir. Il revient, avec de la nourriture, de l'eau, après t'avoir intimé de ne pas casser la porte, mais tu pouvais casser être chose. Il pose l'eau et la nourriture au sol, comme si t'étais un chien, il aurait pu juste te le donner en main propre. « Fuck you. I did collaborate. I'm supposed to be outta there. You can't prove anything, you can't even prove the fact that I was in there, nobody saw me and I could be manipulating you for you to see whatever I want. The impregnation is maybe fake. » Tu veux juste sortir, la bouteille d'eau qui vole dans ta main, l'eau qui coule entre tes lèvres, sur le côté aussi, comme si t'étais un gamin qui ne savait pas boire correctement. Le paquet de chips que tu regardes avec un air un peu déçu, que de l'air, rien d'autre dans le paquet. Tu te lèves. « Let me go. » C'est un ordre, pas autre chose, tu veux qu'il arrête de te toucher, tu veux juste qu'il te laisse en paix, qu'il te laisse partir. « Don't touch me or I'm gonna rip your hand off your body. Pay me if you want to lay a single finger on me. » C'est comme si tu le provoquais. Ton téléphone qui apparaît dans ta main, ton sac à côté de toi, en un clignement d'yeux, c'était aussi simple que ça. La porte de la cellule qui s'ouvre, qui se ferme d'un coup alors qu'il est encore à l'intérieur. Un petit rire que t'as, mais tu te sens pas de le laisser là, alors tu ré-ouvres, et rentre, t'assois encore. « Okay. I'm gonna be a soft baby boy only if you stay with me those 5hours. And If I can sleep on your abs. » T'as un rire, tu veux juste l'embêter.
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