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love is like the wind, you can't see it but you can feel it (cassie)

Arren Rivera
Arren Rivera
the lover
love is like the wind, you can't see it but you can feel it (cassie) Tumblr_p0tgqk2Kv21w6n4tao8_250

à philadephie depuis à philadephie depuis : 09/02/2019

pétales tombées pétales tombées : 7

fleurs cueillies fleurs cueillies : 11


faceclaim faceclaim : gavin leatherwood

crédits crédits : psychotic bitch


occupation occupation : student, magical arts, hoping to be a teacher

“Love is not about how many days, weeks or months you’ve been together, it’s all about how much you love each other every day.”


love is like the wind, you can't see it but you can feel it (cassie) Iz9kdN7

message posté :
Dim 3 Mar - 8:53

Tout avait été beau pendant une semaine ou deux. Tout était parfait. Les nuits dans les bras de Cassie. Les mots d'amours, les déclarations entre vous. Tu pensais que c'était bon, que les disputes allaient s'arrêter, que ça voulait dire que vous étiez officiellement en couple. Tu as eu enfin le courage de lui demander si vous étiez vraiment en couple, si c'était officiel. Il avait ce grand sourire. Son visage qui était plus que lumineux. Un ange qui t'avais dit oui, qui t'avais traité d'idiot aussi, parce c'était évident après tout. Tout se passait un peu trop bien d'ailleurs. Ce n'était pas normal, il fallait que quelque chose éclate. Cassie qui était revenue de l'hôpital après une longue journée. Il était fatigué, tu avais senti aussi son stress. Tu l'as attendu avec des snacks et tes bras grands ouverts. Tu savais que c'était ce qu'il avait besoin. Tout était bien. Il aurait pu s'endormir dans tes bras. Sauf qu'il a posé une question. Les enfants. Est-ce que t'en voulais. Bien évidemment, mais pas maintenant. Tu voulais attendre un peu. Quelques années. Tu voulais d'abord profiter de ton petit ami avant de penser à créer une famille. De toute façon, ce n'était pas possible d'avoir des enfants tant que Nayeli et Isaac n'en avait pas. Et ce n'était pas près d'arriver, puisqu'ils n'étaient pas encore mariés. Cassandre qui commence à s'énerver, qui te dit que c'est le moment parfait au contraire pour en avoir. Tu ne comprenais pas pourquoi il disait ça. Tu as commencé à t'énerver aussi. Vous étiez beaucoup trop jeune. Il t'avait dit que ton père t'avais bien eu à votre âge. Tu lui avais dit que c'était une autre époque et qu'il pouvait en avoir parce qu'ils étaient l'Alpha et le phoenix. Il t'avait dit que tu n'avais qu'à créer ta propre meute et être l'alpha. Ce n'était pas si simple que ça. Tu avais prêté allégeance à Nayeli, tu ne pouvais pas t'en défaire comme ça. Le ton qui montait de plus en plus. Ton loup qui prenait place aussi. Et tu as grogné sur lui. Tu ne voulais pas, mais c'était sorti tout seul. Il est parti en t'insultant, en ayant les larmes aux yeux. Tu as senti sa tristesse. Ton cœur s'est immédiatement serré. Tu aurais dû le rattraper, dire que tu étais désolé, mais tu es resté dans ta chambre, tu t'es dit que de toute façon dans cette dispute, vous étiez deux à être en tort et que tu n'allais pas le faire en premier, à donner tes excuses. T'es juste resté dans ta chambre, tu ne voulais voir personne. Même Aùra avait interdiction de venir te voir. Pendant une ou deux semaines t'étais resté comme ça. Tes parents qui mettaient les plateaux repas devant la porte, mais tu n'y touchais presque pas. Puis t'es finalement sorti de la chambre, mais tu n'adressais pas une parole. Tu vivais juste ta vie. Et tu ressentais les émotions de Cassie, tu savais qu'il allait bien. Ou du moins à peu près bien. Tu l'avais senti malade, un peu stressé. Sans doute à cause de l'hôpital. Ne pas craquer, c'est ce que tu t'étais dit. Sauf que tu t'inquiétais un peu trop. T'as craqué, tu lui as demandé comme il allait. Un vague sourire qui se dessine sur ton visage lorsque tu vois son prénom s'affiche. Un sourire qui s'efface rapidement lorsque tu vois la réponse. Un simple oui et rien d'autre. Un autre message quelques minutes plus tard. La même question pour toi. C'était les échanges que vous aviez eu par message. Il était encore énervé. Tu pouvais un peu le comprendre. Un peu. Sauf que tu le sentais un peu plus malade, un peu plus fatigué. T'avais demandé à Isaac comment ça se passait à l'hôpital avec Cassie. C'était une grosse semaine, il était presque à 70h et ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Cassie qui se cachait au travail. Tu t'inquiétais trop. T'as craqué. T'avais senti qu'il était faible. Beaucoup trop faible.T'es parti, un peu trop vite, en direction de l'hôpital pour le voir, pour s'assurer qu'il aille bien. Tu le demandes quand tu arrives à l'accueil. On essaye de le contacter, mais rien. Une deuxième fois. Isaac qui passait à côté de toi, qui t'avais demandé si tu cherchais Cassie. T'as juste acquiescé. Il était dans la salle de repos, qu'il se reposait parce qu'il avait fait un malaise. Tu n'as pas attendu qu'il termine sa phrase que tu es parti en courant vers la salle. Tu la connaissais sans doute un peu trop bien. T'es entré comme une furie, avec ton sac de snack dans la main. Cassandre qui dormait, qui se reposait. Il était magnifique. Tu t'étais approché doucement de lui. Le sac qui était au sol pour que puisse t'allonger à ses côtés, pour que tu puisses le prendre dans ses bras. Tu respires son odeur, tu sens son cœur battre. Tu es rassuré. Il va bien. « I'm sorry baby. I'm a dumbass. » Au final, tu t'es excusé en premier. « I love you Cassandre. I love you so much. » Des mots doux que tu espères qu'il entende dans son sommeil. Tu ne veux pas le perdre. Tu le veux à tes côtés à tout jamais.
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Cassandre Rosebury
Cassandre Rosebury
the miracle
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crédits crédits : cliffs edge


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love is like the wind, you can't see it but you can feel it (cassie) WuETTH4

Something always leads me back to you,
it never takes too long.


love is like the wind, you can't see it but you can feel it (cassie) YNyQIPz

message posté :
Dim 3 Mar - 18:51

C'était douloureux. C'était comme si le monde t'étais tomber sur la tête. Une journée, t'avais penser à ça, qu'il était temps d'avoir des enfants, que tu ne pourrais plus en avoir passer un certain âge, que ça serait trop tard après. Une journée où tu bossais et où t'avais refait des examens, t'étais comme ta mère, le système reproductif qui déconnait, tu serais plus capable de donner la vie pendant de nombreuses années avant que potentiellement tes pouvoirs se relâchent et que tu te soignes spontanément. Rien à faire. Les enfants, c'était maintenant ou jamais, ou beaucoup plus tard. Tu voulais pas ça, tu voulais pas attendre, tu voulais pas souffrir comme ta mère avait souffert, tu voulais pas attendre plus que ça. T'avais bientôt fini tes études de médecine, t'étais bientôt médecin, t'étais bientôt débarrassé de tout ça et tu pouvais avoir une famille à toi. T'avais eut mal, quand il t'avait dit que tu voulais pas de ça maintenant, t'avais eut mal quand il avait hausser le ton, quand il t'avait dit que de toutes façons il ne pouvait pas avoir d'enfants tant que Isaac et Nayeli n'en avaient pas, parce qu'ils étaient les Alpha, c'était eux avant vous et pour toujours ça serait comme ça. Tu voulais pas ça, tu voulais ta propre famille, tes propres enfants, tu voulais une maison à vous tout seul en banlieue pas trop loin de l'école ni de l'hôpital, tu voulais une vie normale pas régit par les règles d'un clan qui partait en morceau. Tu voulais qu'il ait sa propre meute, composée de toi, de vos enfants. Il avait crier, toi aussi. T'aurais dû t'en douter, peut-être que vous n'étiez pas fait pour être ensemble, vos opinions divergentes qui s'éclataient entre-elles avec violence. Il avait dit que vous étiez trop jeune, ça impliquait que vous étiez sans doute trop stupide, pas assez mature, pourtant son père avait eut ses enfants pas bien plus vieux que vous, sa tante aussi. Il avait grogner, un grognement sourd, effrayant, un grognement qui signifiait qu'il ne voulait plus te parler, qu'il ne voulait plus de toi, plus te voir. Tu l'avais senti jusque dans tes os, la peur, l'angoisse, la tristesse, une peur que t'avais jamais ressenti avant ça, il n'avait jamais oser, pas une fois, il n'avait jamais réellement grogner sur toi, même pour jouer, même pour faire semblant. La peur de mourir, d'être seul, d'être abandonner. T'avais eut peur. Peur de lui. Une relation amoureuse ce n'était pas ça, t'étais pas censé avoir peur de la personne, t'étais pas censé avoir les mains qui tremblent et la gorge nouée, pourtant c'était ce qui était arriver, t'étais parti, tu lui avais dit qu'il n'était rien d'autre qu'un connard qui n'acceptait pas la vérité et t'étais parti, gosse avec les larmes aux yeux t'avais claquer la porte avec une violence que tu ne te connaissais pas. Vous étiez censés être les deux plus réfléchit, t'avais passer plusieurs heures sur la question à savoir si c'était mieux pour vous deux, il était censé te connaître, savoir que tu ne faisais rien sans l'avoir calculé, savoir que tu ne voulais que le mieux pour vous deux, apparemment pas, tu t'étais tromper d'âme-soeur sans doute, ça devait pas être lui le bon malgré ce qu'il disait, ce qu'il avait oser dire. T'avais passer deux semaines à travailler sans relâche, t'avais acheter un appartement, t'avais emménager, seul, à la base c'était une surprise pour Arren aussi, mais après cette dispute t'avais décidé de ne plus rien lui dire, il ne le méritait pas, il ne s'était pas excusé, rien, pas un mot, t'étais pas en tort, t'avais tes raisons, il était trop stupide pour ne pas avoir chercher à creuser un peu plus. Un message, si t’allait bien, t'avais juste répondu un oui, avant de demander la même chose quelques minutes plus tard, tu t'en fichais au fond, il n'avait pas daigner montrer signe de vie depuis deux semaines, pour toi ça voulait dire que vous n'étiez plus rien, plus un couple, plus des âmes-sœurs. Tu vivrais ta vie à partir de maintenant, tu l'avais même dit à Isaac, vous aviez rompu, c'était tout, il t'avait pas demander pour quoi, il comprenait sans doute mieux que personne. Ta marque qui se refermait petit à petit, c'était un signe que c'était fini, que vous étiez trop loin l'un de l'autre pour que ça marche. Trop d'heures, soixante-dix heures, presque un mois que tu l'avais pas vu, tu voulais pas le voir. Tu te sentais de plus en plus mal, tu vomissais tous les matins, t'avais des petits malaises, rien d'inquiétant, t'avais l'habitude, t'avais l'impression d'avoir prit du poids aussi. Le vendredi, c'était le pire, les gens qui avaient fait des comas éthylique, qui s'étaient blessé d'une façon conne, tu bossais pas le week-end de toutes façons. Tu n'allais pas bien, tu le savais, ta morsure un peu trop fermée, tes envies de vomir qui devenaient de plus en plus importante, l'odeur de l'hôpital que tu commençais à détester, les maladies, l'odeur du désinfectant, c'était trop pour toi. C'était trop, t'avais mal, tu voulais pleurer, t'avais plus la force, plus la force d'avancé. Ta tête qui tourne, tu vois des étoiles, tu vois son visage, tu sens ton corps partir, à l'arrière, le vide, tu te réveilles dans les bras d'Isaac, il a l'air concerné, inquiet, il était comme un grand frère pour toi. La prise de sang qu'il te fait dans le silence, le regard que tu lui donne, un regard d'excuse, il sourit, un peu, ça ira, c'était pas grave, ça arrivait, fallait juste voir ce qu'il y avait, si t'étais anémié, si c'était autre chose. Le plaid sur ton corps, t'es allongé, un lit d'appoint, parfois c'est pratique, parfois le besoin de se reposer était trop fort. Tu sens rien, t'as envie de rien ressentir, t'es trop fatigué, tu veux pas ouvrir les yeux, tu veux oublier, t'aimerais l'oublier. Tu bouges, tu le sens, ton corps qui se réchauffe un peu, tu sens la morsure qui s'ouvre de nouveau, doucement, comme si c'était normal, comme s'il avait tout arranger juste en venant. T'es contre lui, tu te réveilles, un peu, il s'excuse, t'as peut-être pas envie de l'excuser, tu veux tout faire sauf l'excuser. Il t'aime, te le dit, à force de le dire peut-être que ça n'a plus aucun sens. Tu te redresses, les yeux dans le vide, la tête dans les nuages, t'as pas envie de lui parler, pas envie de le voir, de le sentir, tout t'irrites, son odeur, sa présence, tout te donne envie de vomir, sur lui, vous, votre relation, tu veux plus, pas subir ça. Il s'excuse mais la question reste la même ? Est-ce qu'il le pense ? T'as cette question pour lui lorsque tu te redresses, tes poings qui se ferment, tu sais que non, il ne le pense pas, il le fait pas inquiétude comme il a grogner par colère, est-ce qu'il le pense ? Non, il veut juste se faire pardonner, comme si tu lui appartenait. Est-ce que c'est juste ? L'histoire dans laquelle l'âme-soeur du loup meurs mais que le loup trouve quelqu'un d'autre ? Détruire des vies pour un idéale, avoir sa vie sur le bout de la langue de quelqu'un d'autre, il peut accepter et avaler, détester l'autre et le cracher, réduire sa vie à néant. La morsure faite c'était trop tard, gamins qui se connaissent et qui sont destinés à être ensemble pour toujours, l'un meurt, l'autre meurt. Terrible angoisse dans vos relations, dans votre sang, toujours obligé d'être raccord avec l'autre. C'était dur, un peu trop dur. « Do you think it's enough ? » Tu demandes, un peu trop fort, un peu trop durement, rien ne t'attendrira, c'est un concours de circonstances, ça ne va pas. La porte qui s'ouvre Isaac avec des feuilles, les résultats de tes analyses, t'attends pas qu'il te le dise, tu veux savoir, t'es pas un bleu au point de ne pas savoir décrypté toi même des résultats de prise de sang, tu te lèves, pousse Arren, tu ne veux pas qu'il te touche, qu'il te regarde, qu'il te sente. Tu lui prends la feuille, violemment, sans réfléchir, tout va bien, un peu d'anémie, tes pouvoirs qui diminuent. Tu bloques, une mention, un fort taux de HCG, au delà de trois par litre dans le sang. Tu lâches la feuille, t'es enceinte, tu vas avoir un enfant, deux-cent-trente de cette hormone par litre de sang. Aucun doute, t'étais enceinte, depuis un moment, depuis peut-être deux ou trois semaines. L'angoisse qui perce dans ton corps, t'as besoin de t'asseoir, tu le fais, sur un des sièges dans la salle, tes mains sur ta tête, tu caches tes yeux, tu ne peux pas lui dire. « You should leave. » C'est tout ce qui te viens, tout ce que tu trouves à dire, t'allait avoir un enfant, d'Arren, et tu ne trouvais même pas la force de lui dire.
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Arren Rivera
Arren Rivera
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message posté :
Lun 4 Mar - 0:12

A croire que tu ne pouvais pas avoir une relation tranquille avec Cassie. Tout était bien, tout était parfait entre vous pourtant. Sans doute un peu trop. Un retour de karma un peu trop violent. C'était comme si vous n'aviez pas eu le droit de toucher au bonheur. Une dispute un peu trop violente. Le loup qui se réveille un peu trop. Tu n'es plus toi-même, la bête a pris possession de toi. C'est sans doute pour ça qu'il y a eu ce grognement. Un grognement un peu trop profond. Un grognement qui était censé apeuré les ennemis. Et t'avais réussi à lui faire peur. Tu l'avais senti. Un peu trop d'ailleurs. Tu n'avais senti que ça chez lui. Connard, c'était le mot qui était sorti de la bouche de Cassie avant qu'il ne parte. Il avait bien raison. T'étais un connard. Et égoïste en plus de ça. Tu lui avais fait du mal et tu n'écoutais que ton ego au lieu de le rattraper et de t'excuser. C'était de ta faute cette dispute après tout. Sa demande était légitime, mais t'avais bien trop peur. Un connard égoïste et peureux en plus de ça. T'étais loin d'être parfait pour lui. Il méritait certainement mieux. C'est sans doute pour ça que tu ne lui avais pas donné de nouvelle. Pour qu'il puisse trouvé mieux. Après tout, il n'avait rien à craindre Cassie. Il allait pouvoir retrouver quelqu'un. C'est toi qui allait mourir si cette séparation venait à être définitive. Tu pouvais encore ressentir les émotions de Cassie. Tu pouvais savoir s'il allait bien ou non. Tu paniquais quand tu sentais qu'il n'allait pas bien. Tu craquais. Des messages que tu lui envoyais comme pour te rassurer. Il te disait qu'il allait bien. Naïvement tu le croyais, même si au fond de toi tu savais qu'il te mentait, qu'il te disait pour se débarrasser de toi. Mais t'étais trop con pour aller plus loin, pour chercher ce qui n'allait pas. Puis, t'as senti qu'il n'était pas bien. T'es parti à l'hôpital avec les snacks préféré de Cassie. T'es arrivé un peut trop vite. Des renseignements, tu veux savoir où est Cassie, s'il allait bien. L'infirmière qui demande. Isaac qui passait dans le coin qui t'emmène à lui. T'avais même pas fait attention au tube de sang qu'il transportait. L'ange encore endormi sur le lit d’appoint. T'es rassuré de le voir réveillé, mais ton cœur qui se serre quand il s'éloigne de toi. Tu t'excuses. Des excuses sincères. Parce que t'as vraiment été trop con. « Do you think it's enough ? » La colère dans sa voix. Une question un peu trop forte par rapport à la voix douce de Cassie. « Of course, it's not enough. » Il mérite plus que de simples excuses. Il mérite qu'on le couvre d'amour, qu'il soit le centre de l'univers, de ton univers. Une porte qui s'ouvre. Cassie qui prend la feuille un peu trop rapidement des mains, qui semble être déconcerté parce qu'il y a écrit.  Cassie qui s’assoit, tu t'avance un peu vers lui. « You should leave. » Il n'allait pas bien. Tu pouvais le sentir. Tu pouvais sentir son cœur battre un peu trop rapidement.  « I want to stay. » Tu allais rester même. Tu ne veux pas le laisser tomber encore une fois. « I was really a dumbass Cassie. The dumbiest. » Tu n'as jamais été aussi stupide dans ta vie. Et pourtant, tu l'as été un peu trop souvent avec lui. Il te faisait perdre la tête dans le bon sens, mais aussi dans le mauvais. « You're the number one to me. » Tu approches doucement ta main de son visage, tu caresses doucement sa joue. « I feel complete when I'm with you. » C'est ton âme sœur après tout. « I was scared and I was stupid to react like this. » Peur parce que t'es encore un gamin après tout. Tu te voyais pas encore avec des enfants. Peut-être aussi parce que tu ne te sentais pas à la hauteur. « Of course, I want a family with you. Lot of kiddos. » Un rêve. Quatre enfants. C'est ce que tu imaginais souvent. Un rêve que tu as déjà fait.  « And a big house. » Tes lèvres qui s'étirent légèrement. Tes mains qui caresse encore de la manière la plus douce possible ses joues. « I want to spend my life with you Cassie. » Une déclaration. Une de plus. Jamais elles ne sont dites sans le penser réellement. Chaque déclaration est importante pour toi. Elles sont là pour montrer tout l'amour que tu lui portes. « I want you Cassandre, only you. » Tu le regardes dans les yeux. Tu sens que c'est lui le bon. Comme si l'imprégnation se faisait à nouveau. Ton cœur qui bat de plus en plus vite. « I love you Cassandre. » T'aimerais l'embrasser, mais la situation ne s'y prête pas. Tu ne t'autorises qu'à ses caresses sur ses joues. « I'll do anything for you. » N'importe quoi. Après tout, tu changes complètement lorsque tu es avec lui. Tu sembles être moins sur la réserve. Peut-être qu'il avait raison lorsqu'il t'avais dit que tu pouvais être un alpha. Peut-être qu'il voyait ce potentiel, même si pour toi c'était impossible. Tu remuerais ciel et terre pour lui. Tu tuerais même. Cassie est toute ta vie après tout.
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Cassandre Rosebury
Cassandre Rosebury
the miracle
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message posté :
Lun 4 Mar - 11:55

Un appartement, c'était tout ce que tu pouvais t'acheter sans demander à personne de t'aider, t'avais tellement économisé que ça ressemblait plus à un vide-poche qu'autre chose mais tu t'en foutais, tu voulais partir du domicile familiale, il était temps. C'était dur, dur de voir qu'il ne voulait pas de toi, pas de la famille que voulais lui offrir, celle que ut ne pourrais plus lui donner dans peu de temps. C'était dur de penser qu'il t'avait grogner dessus, comme si t'étais rien de plus qu'un inconnu, comme si t'étais rien de plus qu'un nuisible dans sa vie. Il n'avait jamais fait ça, pas une seule fois, c'était douloureux, c'était comme si t'étais plus rien pour lui. Il n'avait jamais osé, t'avais entendu des histoires chez toi, comme quoi quand ton oncle avait essayer de grogner sur son âme-sœur il s'était prit la gifle du siècle. Toi, t'avais rien fait, t'étais pas aussi fort, tu t'étais écroulé en larmes, tu t'étais blotti dans ce lit un peu trop grand, des draps de velours, c'était pour vous deux normalement, c'était comme un cocon que t'avais voulu lui offrir et tu te retrouvais seul à en profiter. C'était dur, ça faisait mal au cœur. T'avais tout décoré de A à Z, tu voulais que ce soit à votre image, simple et pourtant chaleureux et tu te sentais seul, c'était trop grand, ça te donnait envie de pleurer encore plus. Les envies de vomir qui se multipliaient avec le temps, l'impression d'avoir prit du poids alors que t'arrivais à peine à manger sans vomir. C'était tellement dur, tellement douloureux, t'étais tombé dans les pommes, un malaise un peu trop prévisible, c'était pas la première fois de la semaine c'était sûrement pas la dernière fois non plus.Tu pensais qu'il viendrait pas, tu pensais qu'il s'en ficherait, tu pensais qu'il ne viendrait pas, peut-être qu'il aurait mieux fallut qu'il ne vienne pas, il aurait dû partir, ne pas venir, ne pas te toucher. Des enfants, t'étais enceinte, t'allait avoir des enfants, tu voulais pas lui dire, tu voulais pas lui dire, tu voulais pas qu'il te regarde et qu'il te dise que c'était trop tôt, qu'il en voulait pas, que tu pouvais te débrouiller tout seul. Il ne te le dirait pas, il te dirait qu'il est heureux, il mentirait. Il veut pas d'enfants, pas maintenant, c'est douloureux, ça te bouffe le sang et les os. Il parle, un peu trop, il veut rester, t'as pas envie qu'il reste, t'as envie qu'il s'enfuit, qu'il fasse encore une fois son gosse trop stupide, celui qui ne voulait plus rien avoir avec toi. T'es le numéro un pour lui, il dit ça comme s'il était encore un gosse perdu bon dernier de la classe, c'était nul, pas de vraies excuses, c'était stupide, immoral, t'avais envie de le frapper. La main qui s'approche de ta joue, tu bouges pas, t'as la gorge serrée, tu veux pas parler, il ne le mérite pas. Il caresse ta joue, des déclarations qu'il ne tiendra pas quand tu lui dira, ton cœur qui bat un peu trop fort, t'as pas envie de le pardonner, t'as pas envie de le regarder, c'est douloureux, t'as pas à t'expliquer sur tes envies. Il parle, dit qu'il veut des enfants, tu sais qu'il pense ça mais qu'il ne le pense pas pour maintenant, il veut attendre, tu ne peux pas attendre, c'était trop tard pour attendre. Une grande maison alors que t'avais déjà un appartement, vos envies différentes, vos points de vues beaucoup trop différent. Ton cœur qui se calme un peu, il refuse d'enlever ses mains, toi t'as tes yeux dans les siens, tu scrutes le moindre mensonge, le moindre mais. Il essaie de sourire, t'y arrives pas, ton visage qui ne montre rien, froid, une carapace fragile qui pourrait se briser au moindre sourire. Il veut passer sa vie avec toi, tu sais pas quoi dire, tu sais même pas si t'es censé répondre à une déclaration, s'il le voulait il ne t'aurait pas laisser partir en premier lui. Il t'aime, il le dit un peu trop, est-ce que ça a encore du sens ? Peut-être, peut-être plus. Il caresse tes joues, encore, elles ont rosies, plus violemment. Il ferait n'importe quoi pour toi, vraiment ? Un sourire amer. « Then be a man. » C'était violent, tranchant, douloureux même, une plaie ouverte. « I want kids now because I'm gonna be infertile in one or two years. » Tu le dis, un peu trop brusquement, un peu trop douloureusement. Tu veux pas lui dire, tes mains sur ton ventre, une respiration trop profonde, ton cœur qui se calme, d'autres battements qui prennent sans doute place dans la salle, pas les tiens mais ils viennent de toi. « You don't want kids yet. I'm gonna do it alone then. » Tu te redresses, t'as mal, t'as les larmes qui commencent à pleurer, t'y arrive pas, t'arrive pas à te redresser, trop fatiguer, pas assez bien pour rester sur tes pieds. « Fuck. » Les larmes qui coulent, t'es pas assez fort. T'y arrivera pas seul et il ne veut pas t'aider, tu le sais.
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Arren Rivera
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message posté :
Sam 9 Mar - 17:17


T'as vraiment tout foiré. Et en beauté en plus. T'es arrivé en paniquant à l'hôpital avec ce sac de snack. Tu l'as vu sur ce lit encore inconscient et la première chose qui t'es venu à l'esprit, c'est de le prendre contre toi, de sentir sa respiration, de sentir son odeur, de sentir la douceur de sa peau. Durant une ou deux minutes, tu as pu profité de toutes ses sensations, avant que Cassie ne se réveille. Avant qu'il te pousse pour ne plus être près de toi. Ton cœur qui s'arrête. Ca fait mal. Bien fait pour toi. Tu t'excuse. T'essayes du moins. T'as jamais été très doué pour trouver les bons. T'as toujours été maladroit dans les paroles. Cassie, c'est la première personne à laquelle tu penses le matin. C'est lui qui hante tes rêves. Son odeur est partout autour de toi. Il n'y a pas une seule seconde où tu ne penses pas à lui. Des caresses sur son visages. Tu lui dis que tu l'aime encore et encore. Un peu trop souvent d'ailleurs. Tu ferais n'importe quoi pour lui. « Then be a man. » Tu te pinces les lèvres. T'as quoi à répondre à ça ? Rien. Il avait raison.Tu baisses justes les yeux durant quelques secondes parce que t'as trop honte de ton comportement. Un véritable crétin. « I want kids now because I'm gonna be infertile in one or two years. » Tes yeux qui se relève. Ton regard qui plonge à nouveau dans le sien. « I … I did not know. » Mais tu aurais pu t'en doute. Tu savais très bien qu'Eirlys avait eu du mal à avoir ses enfants. Isaac qui était une sorte de clone grâce à sa magie, bien évidemment qu'il aurait sans doute les même problèmes qu'elle. Tu te sens de plus en plus con. C'est ton âme sœur, mais tu ne fait même pas tant attention à lui. « You don't want kids yet. I'm gonna do it alone then. » Il te repousse une nouvelle fois. Une grande inspiration et sa main qui se pose sur son ventre. Tu entends son cœur battre plus lentement, mais il n'y avait pas que ça. Il y avait aussi d'autres battement de cœur. Plus rapide et surtout qui ne sont pas synchronisé. Ton regard qui se pose sur son ventre. Une main protectrice envers ses deux enfants qui sont en train de grandir. Des jumeaux. Ce n'est pas si étonnant que ça vu vos famille. Tes lèvres qui s'étirent. Un doux sourire sur ton visage qui s'installe lorsque tu comprends. Tu reprends tes esprits lorsque tu te rend compte qu'il se lève et que tu es toujours à genoux. Tu vois les larmes couler le long de ses joues. Tu le vois devenir encore plus blanc que d'habitude. « Fuck. » Tu te lève rapide, tu le rattrapes lorsqu'il commence à tomber. Tu l'installes à nouveau sur le lit, tu le blotti contre toi, tu essuies les larmes qui coule. « I'm here. You're not gonna do it alone. » Une voix douce comme pour le rassurer. Tes doigts qui passent doucement sur son visage. Des caresses encore et encore. « I bought a house. » Une information sortie de nulle part. Tu savais que Cassie ne rêvait que de ça. Tu l'avais déjà entendu dire que vivre avec ses parents, avec ses sœurs et son frère ça commençait à devenir lourd. Tu savais qu'il avait envie de plus grand avec toi.  « Well more a piece of land. No house build yet. » Un morceau de terrain sans rien. Une maison que tu voulais faire de tes propres mains, comme ton père l'avait fait il y a déjà une vingtaine d'année de ça pour fonder votre famille. Tu sors ton téléphone de ta poche pour lui montrer la photo du terrain. « I want kids. I want these one. » Tu le blottis un peu plus contre toi. Des caresses dans le dos, sur son visage. Un baiser en haut de son crâne.« I want you Cassandre. I love you. » Une déclaration de plus. Peut-être que tu en fais trop, mais tu t'en fiche. Tu l'aimes, c'est la vérité. « I want to spend my life with you, with the kiddos, with Adriel and Adhara. » Deux prénoms. Ceux que tu aimerais donné à vos enfants, à ceux qui seront bientôt parmi vous.
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Cassandre Rosebury
Cassandre Rosebury
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message posté :
Lun 18 Mar - 15:01


Des enfants, t'en voulais depuis que t'étais gosse, depuis que tu le connaissais en fait. Tu l'avais toujours voulu lui, vous ne vous quittiez pas, jamais. Depuis que t'es gosse, depuis qu'il est gosse aussi. Vous aviez le même âge, les mêmes idées, les mêmes centres d’intérêt aussi. Tu te souviens des nuits à jouer aux jeux vidéos tu te souviens des baisers à en faire saigner vos lèvres, tu te souviens de ses mains sur tes hanches, des ados, l'importance de vos premières fois, vos premiers rendez-vous,de tes rires, des siens. Il n'avait jamais été comme ça avec les autres, il était droit, froid, réfléchit. Arren c'était la tête pensante, celui qui lisait sans jamais s'arrêter, qui grattait sa guitare en espérant trouver l'inspiration pour écrire ou pour relire ses cours. Merde. Il était celui qui écrivait des chansons pour toi, qui chantait pour toi, jouait pour toi, qui caressait tes cheveux pour t'endormir, il était celui qui donnait tout son amour tout le temps à une seule et unique personne, toi. C'était bizarre, drôle, t'étais celui qui hantait ses pensées depuis que vous étiez gosses, aucun moyen de vous séparés, pas moyen de vous tirer à plus de trois mètres l'un de l'autre. Partir, si longtemps, ça avait été dur, ne pas le voir, ne pas le sentir contre toi, en toi, ne pas sentir sa présence, sa chaleur, ça avait été douloureux, les larmes que tu avais verser, pas seulement causées par les vomissements intempestif. T'avais penser au début que c'était la fin de votre relation, la douleur, la peur, t'avais penser que c'était fini, que vous n'étiez plus des âmes-sœurs, que vous n'étiez plus ce que vous aviez été toute votre vie et ça te faisait peur. Sans lui, tu savais que tu n'étais rien, tu savais que tu finirais par mourir d'amour, mourir de tristesse. Pourtant, il était venu, ta morsure qui s'était ouverte, tu l'avais senti, comme s'il avait tout arranger par juste se tenir devant toi dans une pièce, comme s'il avait tout arranger juste parce qu'il avait caresser ta peau, que t'avais senti sa chaleur. Les résultats qui avaient été inattendues, t'attendais des enfants, tu portais les enfants d'Arren, de ton âme-sœur, même après tout ça, après toute la douleur. Tu comprenais, t'avais fait comme ta mère, littéralement, les fausses couches que tu avais pensés normale, juste quelque chose qui n'était pas passer, c'était pas le cas, t'avais déjà porter des enfants, t'avais déjà était enceinte, pas aussi longtemps que cette fois, c'était ton deuxième mois presque, c'était fini c'était certain que ça irait certain, c'était certain que tu pourrais mener tout ça à termes et tu savais que tu en étais capable. Tu te lèves, jure, t'essaie de te lever, l'envie de vomir qui remonte, la faiblesse aussi que tu sens prendre possession de tes membres, t'as pas fait de malaises pour la joie d'en avoir. Il t'attrape, t'as pas envie qu'il te touche mais t'es trop faible, tu te laisses faire, tu n'as même pas honte, il te blottis contre lui, contre son torse, essuie tes larmes.T'as un couinement, il t'a manquer, fort manquer. Tu ne seras pas seule, ça sonne comme une promesse, t'as un petit rire, ta tête qui se laisse tomber contre son torse, comme s'il était un oreiller. Tes mains qui ne quittent pas ton ventre, tu sens rien, tu sais juste que y'a un enfant ou deux, ça serait pas surprenant au vu de vos antécédents familiaux, faudrait que tu t'excuses à Isaac pour l'avoir traiter de cette manière. Il a cette voix, un peu trop douce, comme si rien ne venait de se passer, comme si tout était prévu, normal, alors qu'il y a à peine deux heures vous ne vous parliez même plus. Tes yeux qui s'agrandissent un peu quand il te dit qu'il a acheter une maison, un terrain en fait, t'as un rire, il veut faire comme son père avant lui, tu trouves ça mignon, ça prouve qu'il t'aime peut-être réellement. Il savait, que tu ne voulais plus vivre avec ta famille, tu voulais être libre, c'était la porte ouverte à toutes sortes de choses en fait la liberté. Une photo du terrain, c'était immense, près d'un lac, t'as eut un rire, petit rire, un rire fatigué, épuisé. Tu ne t'étonnais pas, tes pouvoirs qui servaient pour l'enfant maintenant, plus pour toi. Il te blottis, il veut ces enfants, ceux que tu portes en ce moment même, t'as un ronronnement, des jumeaux, c'était à prévoir, vraiment à prévoir. Il est partout, son cœur qui bat, ses mains sur ton visage, ses lèvres sur le haut de ton crâne, t'es fatigué, désespérément fatigué. Une déclaration, ta tête contre lui, encore plus, t'es fatigué de tout ça, de lui, de vous, t'en a marre de te battre pour lui. Deux prénoms, tu fonces les sourcils Adriel et Adhara, tu fais la grimace. « Nevaeh. Not Adhara. » Le paradis, c'était un prénom que t'aimais depuis que vous étiez petit, t'avais déjà choisi. « I'm tired of fighting with you. I feel like you don't understand what I feel, you didn't even knew I had several misccariages. The first one when we were seventeen. I had three.» Tu ne le savais pas non plus, t'avais pas réalisé. « They're miracles. » Ta main sur ton ventre, tu places la sienne aussi. T'es effrayé par le futur.
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Arren Rivera
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message posté :
Sam 23 Mar - 17:47


Tu voulais Cassie. Tu voulais lui et personne d'autre. Tu y arrivais très bien quand t'étais gosse. A l'adolescence, ça avait changé. Tu foirais tout, absolument tout. Tu pensais pourtant que tu avais réussi à le reconquérir de nouveau. C'était beau, magnifique, intense entre vous. Vous aviez retrouvé les sensations, l'insouciance de votre adolescence. Tout ça s'est brisé avec la dispute. Sans doute celle de trop. Celle qui ne t'a pas fait sortir de ta chambre durant des semaines. Celle qui te faisait ressentir de moins en moins les émotions de Cassie. T'avais eu l'impression de mourir. Sans doute parce que le sorcier avait aussi cette imprégnation. Le lien qui s'affaiblissait petit à petit. Des cauchemars la nuit. Cassie, des silhouettes d'enfants qui disparaissaient dans la brumes. Tu avais beau crier d'attendre, essayer de les rattraper, ils étaient disparus pour de bons. C'était la version douce de ce cauchemars. Il t'arrivait de te réveiller en pleine nuit parce que tu voyais les corps inanimés, qui nageait dans leur sang. Toi, t'étais au centre de tout. T'avais leur sang sur les mains. Ça t'arrivait de faire des rêves. Plus joyeux. La vie que tu as toujours voulu avec Cassie. Vos enfants. Les prénoms que tu avais envie de donner. Des semaines, c'est le temps qu'il t'a fallu pour comprendre que si Cassie devait avoir des enfants rapidement, ça ne te dérangerait absolument pas. Il t'a fallu la perte de conscience du blond pour te bouger. T'étais qu'un crétin. L'imprégnation qui se rétabli lorsque tu es à ses côtés. Son odeur qui t’envahis. Ton cœur qui bat un plus rapidement quand tu entends ceux de tes enfants. Des jumeaux. Ce n'était pas vraiment une surprise lorsque tu vois de ta famille. Nova était la seul qui était née sans que personne ne l'accompagne. Heureusement pour tes parents, ils n'auraient pas supporter des jumeaux une nouvelle fois.  L'avoir dans tes bras te faisait un bien fou, comme si tu étais complet à nouveau.  Les prénoms que tu voulais qui s'échappent de tes lèvres. Une grimace sur l'un deux, celui qui ne sera pas utilisé. « Nevaeh. Not Adhara. » Un léger rire qui s'échappe de ta bouche. « Nevaeh is a cute name. » Un sourire qui s'agrandit de plus en plus. « Little heaven. » Un autre rire. Un peu enfantin celui-là. Tu ne pouvais le nier, il était mieux qu'Adhara. « I'm tired of fighting with you. I feel like you don't understand what I feel, you didn't even knew I had several misccariages. The first one when we were seventeen. I had three.» Ton sourire qui s'efface rapidement. Tu le serres contre toi. « I … I did not know . Sorry. » Sans doute parce que t'étais trop jeune, que tu pensais que ce n'était pas possible que Cassie le soit déjà. Tu avais senti qu'il n'était pas bien, mais à chaque fois, tu pensais que c'était dû à une intoxication alimentaire. « I don't want to fight you anymore. I just want to be with you, live with you, with our children. » Tu le serres un peu plus contre lui. « I want you to be my husband later. » Sa main qui se trouve dans le tienne. Une bague qui apparaît. L'illusion d'une alliance qu'un jour tu espérais qu'elle soit à son doigt. « I want to spend my life with you Cassandre. » Un baiser sur ses lèvres. Un doux baiser. « They're miracles. » Il place ta main sur son ventre. Tes lèvres qui s' étirent légèrement.« Yes, they are. » Un autre baiser sur le haut de son crâne, comme pour ne pas le bousculer.  « They're will be fighters like you. » Tu le fait un peu plus se blottir contre toi. Tu ne voulais que lui et vos enfants. C'était tout ce qui t'importait désormais.
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